«C'est la fin du laisser faire. C'est-à-dire qu'on ne peut plus faire tout et n'importe quoi, y compris commettre des erreurs», a commenté Arnaud Montebourg dans le cadre du "Grand Rendez-vous" Europe 1/Le Parisien/i-télé.
On se doutait qu'Arnaud Montebourg était un surhomme (il faut l'être, pour supporter la Pulvar plus de cinq minutes sans passer en mode Massacre à la tronçonneuse). Nous en avons confirmation.
En effet, la déclaration ci-dessus n'a qu'une interprétation : les patrons sont des cons qui passent leur temps à faire des tas d'erreurs tandis que lui, Arnaud Montebourg, qui n'a jamais approché une entreprise, sait ce qui est une erreur et ce qui n'en est pas, et va donc mettre son savoir au service des patrons en leur interdisant de faire des erreurs.
Qu'est-ce qu'on dit ? Merci, M. Montebourg ! Je suis sûr que les patrons, ces ingrats, ne vont même pas avoir cette politesse.
Après avoir interdit la prostitution, le chômage puis les erreurs, le gouvernement prévoit d'interdire la misère, la maladie et la mort.
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