Catherine Deneuve vient au secours de Gérard Depardieu dans Libération. Cet entretien sonne comme une paire de gifles bien sonores à Philippe Torreton.
On imagine d'ici la scène qu'en tirerait un cinéaste : 1900, Catherine Deneuve en crinoline et ombrelle, bien droite, dans une rue de Paris. Un Torreton sombre, rabougri, torve, chapeau melon. Il tient un propos inconvenant à la dame. La paire de gifles claque. Les passants se retournent. Le chapeau roule dans le caniveau.
Deneuve et Depardieu se connaissent bien. Ils ont souvent joué ensemble. Rappelons ce jugement, très approprié à l'actualité, de Depardieu : "Catherine Deneuve est l'homme que j'aurais aimé être."
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Depardieu avait fait un compliment à Deneuve, celle-ci lui renvoie l'ascenseur...geste poli, rien de plus.
RépondreSupprimerAmusant cette petite scène de cinématographe dans Paris. Tout de même : une crinoline en 1900...de la part de quelqu'un qui aime l'histoire et qui taxe si aisément ses contemporains d'inculture !
Encore le langage : vs aussi employez le très à la mode "assistanat" en lieu et place d'"assistance"...l'assistanat est la fonction d'un assistant , par exemple un enseignant à l'université qui est assistant en attendant d'être professeur ; il aspire de passer de l'assistanat au professorat.
Pour "assistanat", vous avez raison.
RépondreSupprimerPour la crinoline, c'est vrai qu'en 1900, c'était désuet.
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