Dans l'affaire de la dénaturation du mariage, nous l'avions déjà vu. Une fois de plus, nous le constatons dans l'affaire Leonarda.
Par l'intermédiaire de François Hollande, l'Etat est mis au service de lobbys ultra-minoritaires, mais, également, ultra-subventionnés et ultra-médiatisés.
Cette tendance ne date pas d'aujourd'hui : sous la fausse droite, ces lobbys existaient déjà et étaient déjà subventionnés et médiatisés et ils avaient déjà un poids politique disproportionné.
Cependant, François Hollande régnant, ce mouvement a pris une ampleur nouvelle. C'est une catastrophe politique : nous sommes sur la voie de l'arbitraire, de la tyrannie et de l'anarchie.
Arbitraire parce que le Bien et le Mal sont décidés par des groupuscules sans légitimité, qui transforment la loi en chiffon de papier ou en tables de marbre au gré de leurs fantaisies. Tyrannie parce que ces lobbys n'hésitent pas à utiliser l'Etat jusqu'à son sommet pour faire appliquer leurs décrets. Anarchie parce que le crédit de l'autorité publique est entamé pour longtemps.
Je ne sais pas si François Hollande a conscience des risques qu'il fait prendre à l'Etat et à la France, mais je crois que, de toute façon, il s'en fout. Seules comptent sa réelection et ses manoeuvres politicardes. Ce n'est pas un homme d'Etat.
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