Les medias sont les champions panurgesques de l’engouement factice et de l’hommage infondé.
S’agissant de François Mitterrand, comme d’ailleurs de Jacques Chirac, ce flot de nostalgie est incongru, malséant. Il est vrai que le biais outrageusement gauchiste de la canaille journalistique est connu de tous.
Il faut quand même être très peu informé de ce que fut François Mitterrand pour se laisser aller à le regretter.
Voici deux articles plus justes, l’un général, l’autre économique :
Philippe Alexandre : «Mitterrand n'était pas un homme d'État»
Le lourd passif de l'homme du 10 mai
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