Camille Pascal : Saint louis et son chêne expliqué aux « historiens de garde »
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En s'interrogeant sur la «crédibilité» de ce témoignage, madame de Cock a fait preuve en vérité d'un très grand mépris non seulement pour le roi Saint-Louis, le sire de Joinville, mais au-delà pour tous ceux de nos ancêtres qui ont eu le tort, à ses yeux, de vivre au XIIIème siècle, de croire en Dieu et même en la Mission Divine de la France qui justifiait, alors, les Croisades. Il est vrai que les sujets du Roi Saint-Louis n'avaient pas la chance de lire Libération tous les jours ni même de pouvoir profiter de l'enseignement de madame de Cock.
Ce dont cette enseignante, certainement dévouée [mais à quoi ?], n'a semble-t-il pas pris tout à fait conscience c'est qu'en s'interrogeant publiquement et d'un petit ton d'ironie sur la crédibilité d'un épisode parfaitement authentique de l'histoire du Roi Saint-Louis, elle a posé sur la civilisation française du XIIIème siècle le regard «colonial» que la IIIème République et ses instituteurs portaient sur les cultures, les récits et les croyances «indigènes» au début du XXème siècle. Regard condescendant et méfiant que cette historienne du «fait colonial» est, n'en doutons pas, la première à condamner.
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Cette grognasse est l'illustration, une fois de plus, que la confusion entre intellectuel et intelligent est l'escroquerie du siècle.
Ces imbéciles me fatiguent mais ils finissent souvent, en raison même de leur imbécillité, par obtenir gain de cause, à l'usure, parce qu'il faut dix fois plus d'énergie pour réfuter une connerie que pour l'émettre.
Attaquer Saint Louis n'est pas innocent, c'est la plus haute figure de l'ancienne France. Ce sont plus que des imbéciles, ce sont des salauds.
Les crimes contre l'esprit ne sont pas de moins de conséquence que les crimes contre la chair, ils ne sont donc pas moins punissables. A la libération, je fusillerais bien trois ou quatre des plus éminents de ces vandales contre la France, son esprit, sa fierté et son histoire.
On a fusillé Brasillach, qui les valait bien tous.
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