Je reprends la présentation du Figaro :
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Après une overdose, Thomas (Anthony Bajon), 22 ans, échoue dans une petite communauté chrétienne perdue dans un coin splendide des Alpes, en Isère. Il n'a plus rien, et on lui promet qu'il n'aura rien : ni alcool, ni tabac, ni médicaments, ni argent, ni téléphone. On ne lui dore pas la pilule, il n'y a pas de pilule. On lui promet que ce sera dur, et qu'il va falloir tenir. Comment ? Avec la prière, le travail et l'amour fraternel. L'antique programme bénédictin.
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C'est un film sur le mensonge : comment cesser de se mentir à soi-même ?
Ce n'est pas un film politique, et pourtant, je n'ai pu m'empêcher de penser à Pilule Bleue, pilule rouge.
L'acteur principal est excellent. Il y a une vraie humanité, ça change des films anti-catholiques sans une once d'intelligence dont nous abreuvent les medias français- (aujourd'hui, la vraie rebellion, c'est d'être catholique !). Dommage que la fin soit téléphonée.
lundi, avril 02, 2018
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