lundi, juillet 20, 2020

PY Rougeyron fait le bilan de l'épidémie de COVID.



C'est un des rares mecs que je connaisse qui a souffert pour ses idées : attaché parlementaire européen, il s'est retrouvé au chômage du jour au lendemain grâce à coup fumant de la droite « de conviction» (qui a surtout la conviction que c'est malséant d'avoir des convictions et de les défendre, cette opiniâtreté étant susceptible de choquer l'électrice versaillaise moyenne).

C'est aussi un grand copain de mon ami Alain J. Les amis de mes amis ...

Factuellement

L'épidémie est finie dans l'hémisphère nord depuis un bon mois (le nombre de morts est quasi-nul. On détecte plus de contaminés parce qu'on teste plus. Mais contaminé ne veut pas dire malade) et, de toute façon, on a un traitement qui marche (protocole IHU).

Le nombre de morts finira quelque part entre la moitié et le totalité de la grippe de Hong-Kong en 1969, c'est-à-dire grave mais sans plus, tout à fait gérable sans mettre les pays à l'arrêt.

Ne le répétez pas, c'est un secret.

Politiquement

C'est une démarche de contrôle des populations à l'échelle de l'occident.

Prochaine étape : l'obligation du vaccin inutile, à l'efficacité douteuse et aux effets secondaires douteux (vu qu'on ne prendra pas les 5 ans qu'il faut pour mettre au point un vaccin).

Conclusion

Vous vous doutez que je suis entièrement d'accord avec ses 20 dernières minutes sur l'occident en phase terminal, qui renie son prométhéisme et qui devient irrationnel, avec ses journalistes-prêtres et ses tabous.

Et, bien entendu, sur les populations occidentales bousillées : apeurées, physiquement faibles, crédules et lâches. Quand je pense qu'il y a 100 ans, nos ancêtres faisaient la guerre de 14 et il y a 50 ans ils vivaient la grippe de Hong-Kong sans en faire un plat, j'ai honte de ma génération, de mon époque.

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