Le sujet méritait cependant un analyste plus fin que Thierry Lentz, qui est un gros bourrin.
Il prend Hitler pour un imbécile, ce qu’il n’était pas. L’auteur ne comprend pas ce qui a été analysé finement par François Delpla : le mode d’action d’Hitler, qui trompe même ses subordonnés, fait qu’il a besoin de ces longues périodes de retraite pour méditer ses coups machiavéliques, comme un joueur d’échecs.
Lentz prend cela pour de la paresse !
On a droit à une réflexion idiote sur Hitler qui s’intéresse sincèrement à la souffrance animale. Comme si privilégier les bêtes était contradictoire avec la torture des humains !
Bref, une lecture d’été. Sans plus.
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