mercredi, janvier 10, 2018

On n’arrête pas le progressisme : 2018 sera pire que 2017 (confirmation)

On n’arrête pas le progressisme : 2018 sera pire que 2017.

Avec les nihilistes gauchistes, le pire est toujours sûr.

Quand des femmes dénoncent leur victimisation

Golden globes et Précieuses ridicules

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Le pire est que celles qui vocifèrent maintenant jusqu’à empêcher toute contradiction, sont les mêmes qui se sont tues lors des viols de Cologne et les mêmes qui acceptent la condition diminuée de la femme musulmane, au nom de respect de traditions qu’elles ne connaissent même pas. Elles refusent jusqu’à la « solidarité » des hommes de Hollywood : « Not enough guys ! Not enough ».
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Peggy Sastre : « Le féminisme policier refuse la contradiction »

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Assiste-t-on réellement, comme vous le suggérez dans cette tribune, à un retour du puritanisme ?

Oui, c'est indubitable. Caroline de Haas nous accuse d'être des « récidivistes en matière de défense de pédocriminels ou d'apologie du viol ». Ce féminisme policier fondé sur le chantage affectif et la manipulation des statistiques ne supporte même plus la contradiction. Ce mouvement est antilibéral, au sens politique du terme: il refuse le pluralisme et la coexistence de sensibilités différentes au sein du débat public, qui est, il me semble, l'un des acquis les plus précieux des sociétés occidentales. Elles sont persuadées d'avoir le vent de l'histoire dans le dos... ça me fait bien rire! Lorsqu'on regarde les grandes enquêtes d'opinion internationales, on s'aperçoit que de moins en moins de femmes se disent féministes, surtout chez les plus jeunes générations. Pourtant l'écrasante majorité des gens se disent favorables à l'égalité entre hommes et femmes.
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Heureusement, il y a quelques bonnes nouvelles :

Conspué, le Carmen trituré par le politiquement correct de Florence tourne au fiasco







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