Coups de couteau, viols et rixes mortelles, en France, c’est l’été meurtrier
Tous ces criminels ont un point commun de l'été. Devinerez vous lequel ? (Trop facile).
Et puisque cet article provient d'un site russe, parlons de la Russie :
Aux Origines de la Russophobie
Et bien sûr, la « justice » française est lancée à fond, avec l'immense talent pour la dégueulasserie qu'on lui connaît :
Justice française : trente-six poids, trente-six mesures
Mais les Français ont un peu ce qu'ils méritent, non ? (1).
Un collègue, qui n'est pas croyant et qui ne va pas à la messe, me disait que tout cela provient de l'oubli des valeurs chrétiennes. Si même les athées s'en aperçoivent ...
J'ai failli lui répondre qu'avec les « chrétiens » de gauche et les curés, évêques, cardinaux et pape rouges, on n'était pas sorti de l'auberge et qu'il ne fallait pas trop compter sur les chrétiens.
Bon, allez, je vous laisse avec un autre été meurtrier :
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(1) : Les peuples velléitaires méritent d’être tyrannisés.
Je pense à ce dialogue de L’armée des ombres de Melville. Jean-Pierre Cassel, aviateur démobilisé et désœuvré, se balade dans Paris occupé avec son blouson de pilote. Il croise son ami Paul Crauchet, Résistant.
PC : Tu ne manques pas d’air de te balader avec ton blouson d'aviateur.
JPC : Oh … Les Allemands, je les emmerde.
PC : Et c’est tout ce que tu leur fais ?
Bien sûr, dans la suite du film, Cassel finit Résistant.
Je pense aux Français qui se plaignent de Macron et de son orchestre. J’ai envie de répondre « Et c’est tout ce que vous leur faites ? ».
Moi, au moins, bien que pensant pis que pendre de Marine Le Pen, j’ai voté pour elle en considérant que le projet mondialiste, européiste et anti-national de Macron était pire que tout, y compris pire que MLP. Quels que soient ses défauts, Marine Le Pen n’a pas, elle, l’ambition, plus ou moins affichée, de détruire la France et ses institutions. Il fallait choisir entre la peste et le choléra.
C’est bien faible, je l’admets. Mais c’est mieux que rien : si tout le monde avait fait comme moi, nous n’aurions pas Macron. Bon, nous aurions Le Pen et nous serions dans la merde aussi, mais ça ne serait pas la même. Nos ancêtres sortaient les fourches pour bien moins que ce que notre pays subit depuis quarante ans.
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