Les hauts cris de vertu fiscale, demandant l'exposition en place publique des coupables, sont assez navrants : on appelle au châtiment pour ne pas avoir à penser. Penser, c'est fatigant.
J'ai déjà dit ce que j'en pensais (Nous irons tous au paradis, c'est la faute aux impots).
J'ajoute cet article de Stéphane Denis :
On irait tous au paradis
Vincent Bénard indique d'ailleurs une méthode pour transformer la France en paradis fiscal. Yes we can !
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Et oui... que répondre à une telle analyse?
RépondreSupprimerIl faut juste espérer que nos gouvernants réagiront avant qu'il ne soit trop tard car les échéances se rapprochent dangereusement si l'on en croit l'évolution de l'euro...
Heureusement qu'il existe encore quelques personnes de bon sens et courageuses parmi les journalistes!
Yes we can ?
RépondreSupprimerBon sang, mais il me semble bien que c’est le mantra de Barack Obama, son slogan fétiche !
M. Franck Boizard, sympathisant démocrate ?
Alors simple facétie, clin d’œil, ou affichage discret d’une proximité politique surprenante ? Le verbe du charismatique sénateur de l’Illinois aurait-il fait un converti de plus de ce côté-ci de l’Atlantique ?
Eloge des paradis fiscaux = éloge de la délinquance !
RépondreSupprimerJ'ai les mêmes contre les radars ; décidément, chez les libéraux, l'enfer, c'est les autres !
Yes we can est une simple facétie : Barack Obama est un Ségolène (en un peu mieux tout de même).
RépondreSupprimerMieux que segolene je ne sais pas, par contre les americains sont moins a l'ouest que les francais, du coup leurs politiques ne peuvent se permettre pas la meme demagogie. En tout cas je vois plutot la chose de cette facon.
RépondreSupprimerpour ce qui est des paradis fiscaux : pas nécessairement! Si l'on excepte l'argent des mafias en tout genre, ils ont un rôle de temporisateur vis à vis des états qui n'ont que trop tendance à vouloir faire payer jusqu'à plus soif les "salauds" de riches...
RépondreSupprimerSi l'évasion fiscale existe, c'est qu'il y a des raisons (et une fois encore je laisse de côté le problème des mafias!). A trop vouloir au nom de la "justice sociale" imposer, on finit par tuer la poule aux œufs d'or... ce n'est que trop connu! Et dans le cas français, cela permet à notre super Etat moribond de perdurer... en continuant à nous plumer!
Daredevil ! Vous êtes libéral ou poujadiste ? quel cri du coeur !
RépondreSupprimerVous justifiez la délinquance comme n'importe quel petit voyou de banlieue ou d'ailleurs : on m'empêche de faire ce que je veux dans la société où je vis...
Et dire que le maître des lieux s'indignait quand je disais que le libéralisme c'est le geai qui se pare des plumes du paon et que cette idéologie n'existe que pour couvrir les malfaiteurs de la délinquance financière !
Pascal
Mon amalgame Le règne des Etats-voyous tel la France
RépondreSupprimer