mardi, novembre 03, 2009
Métro : heureusement que ça a changé
(source : fdesouche)
Quelle horreur, cette absence de métissage et de diversité ! Mais c'est bien connu «première, deuxième, troisième génération, nous sommes tous des enfants d'immigrés», comme le prouve clairement ce film. Il montre aussi qu'avant l'enrichissement par la diversité apporté par les bienheureuses Chances pour la France, le métro était un enfer de saleté, d'impolitesse et d'incivisme.
Heureusement que les choses ont bien changé grâce à de salvatrices vagues migratoires qui ont remis dans le droit chemin de la civilisation ces barbares de Français.
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Hé ! Non mais, ho, hé, han, attends, ho l'aut' hé... hé ! mais attends, r'garde... j'le crois pas... mais, hé, hé ! Dans... dans les dernières secondes on voit... vers la fin on voit un... un.... enfin, tu sais.... hé mais r'garde ! Vers la fin on voit un noir !
RépondreSupprimerLe début des problèmes...
RépondreSupprimerRemarque, les problèmes ont commencé à venir bien avant la télévision couleur.
Moi, cette France incestueuse et consanguine, ça me fait flipper. Il nous faut plus de chances pour la France.
RépondreSupprimerRécemment revenu d'Oslo, j'ai pu constater une certaine sérénité dans les transport en commun et dans la rue de la capital norvégienne en général.
RépondreSupprimerC'est très frappant de revenir à Paris où les jeunes usent et abusent des nouvelles technologies en nous imposant du Rap à "donf".
Sans parler des visages déprimés des malheureux utlisateurs des transports en commun.
Un Noir à la fin ? Moi il me semble en voir un vers 2'20... mais alors classe, imperméable, genre S.Poitier... sinon c'était quand même déjà bien sinistre (j'ai bien rigolé en entendant le commentateur parler de couleurs claires et reposantes), le métro.
RépondreSupprimerJe trouve le métro de cette époque là beaucoup moins sinistre que le notre. Pour moi les transports en commun c'est le RER B, côté banlieue nord. Là-bas, la "chance pour la France", c'est moi. Et quand on vit entouré de noirs et d'arabes, qu'on le veuille ou non, on se sent coupé de la communauté nationale.
RépondreSupprimerNon mais là évidemment si vous comparez au RER B... espèce de CPF ! huhu
RépondreSupprimer«qu'on le veuille ou non»
RépondreSupprimerC'est bien tout le problème : c'est qu'on ne veut pas vivre au milieu d'immigrés mais qu'on a soigneusement veillé à éviter de nous demander notre avis.
Mathieu Bock-Coté explique très bien ce chartisme, consistant à remplacer la démocratie, trop dangereuse, par des chartes droits-de-lhommistes édictées par élites dénationalisées :
Mathieu Bock-Coté sur l'idéologie multiculturelle
"Coupé de la communauté nationale" ? Mais enfin, ces "Noirs" et ces "Arabes" sont français. La preuve ? Ils parlent arabe et swahili, LANGUES FRANÇAISES. Hihi.
RépondreSupprimerIl y a aussi, dans cette obligation du vivre-ensemble, beaucoup de mépris pour les classes populaires. L'immigration en effet est pour eux une troisième coupure
RépondreSupprimerLa première coupure, c'est le mépris dans lequel est tenue l'identité nationale, dont je dis souvent qu'elle est un service public et réellement gratuit.
La deuxième coupure, c'est le fait d'habiter dans des régions ou des villes moins dynamiques économiquement. Non seulement on n'a pas d'identité nationale, mais on n'a pas de travail.
La troisième coupure, c'est l'obligation de la fermer devant l'afflux d'immigrés.
Quand vous vivez dans un quartier populaire ou habitez une région pas très dynamique, quand on vous dite que la France c'est ringard et quand on vous apprend qu'en plus le mouton c'est l'avenir, forcément vous vous sentez exclu.
Moi, je préfère largement le porc, le veau, le bœuf et l'agneau (dans cet ordre) au mouton.
RépondreSupprimerJe préfère les vieilles rames Sprague-Thomson qui roulaient encore lorsque j'étais gamin. Et puis, sans vouloir faire mon Chirac, le métro à l'époque (je parle de la fin des années 60/début 70) et bien ça sentait... le métro. Aujourd'hui...
RépondreSupprimer"C'est bien tout le problème : c'est qu'on ne veut pas vivre au milieu d'immigrés mais qu'on a soigneusement veillé à éviter de nous demander notre avis."
RépondreSupprimerAvons-nous demandé l'avis aux populations Vietnamiennes, Maghrébines, Africaines etc. lorsque vous les avez colonisé ? Leurs avons-nous demandé leurs avis lorsque nous avons pillé leurs ressources ?
Mais bien sûr, étant descendants des Lumières, tout français que nous sommes est gage de liberté et de développement.
Aujourd'hui, les couleurs donnent de la Vie à notre Pays. Ce sont les Zidanes, les Noah, les Parker, les Richardson, les Ndiaye qui vont rêver la France. Nous, français, avons laissé mourrir, pourrir nos parents lors de la canicule 2003. Combien de personnes agés d'origines africaines mortes leurs de la canicule ? Que dalle...
Votre intolérance pue. Et dans le métro, c'est votre intolérance qui me rend malade
«Leurs avons-nous demandé leurs avis lorsque nous avons pillé leurs ressources ? »
RépondreSupprimerLa thèse de Jacques Marseille, confirmée par d'autres depuis, prouve que les colonies ont plus couté à la France qu'elles ne lui ont rapporté.
«Aujourd'hui, les couleurs donnent de la Vie à notre Pays.»
Le pays vivait très bien sans elles.
«Ce sont les Zidanes, les Noah, les Parker, les Richardson, les Ndiaye qui font rêver la France. »
Pas moi.
«Nous, français, avons laissé mourir, pourrir nos parents lors de la canicule 2003.»
Là, vous avez un point.
«
Votre intolérance pue.»
La tolérance, il y a des maisons pour cela (dixit Claudel).
Les injonctions à la tolérance obligatoire, je m'en contrefous. De puer aussi d'ailleurs.
«Et dans le métro, c'est votre intolérance qui me rend malade»
Tant pis pour vous.
Soyez le seul blanc au milieu de noirs et vous verrez que l'intolérance ne m'est pas réservée.
"Avons-nous demandé l'avis aux populations Vietnamiennes, Maghrébines, Africaines etc. lorsque vous les avez colonisé ?"
RépondreSupprimerDonc les Zidane et les Noah nous "colonisent" ?
Vous défendez mal votre cause. Si les gentils immigrés viennent donner de la vie au pays ringard qu'est la France, la moindre des choses, c'est de demander leur avis aux Français, non ?
Je comprendrais que vos gentils immigrés se moquent de notre avis s'ils venaient nous coloniser, mais ils ne viennent pas nous coloniser, si ? Rassurez-moi...
"Ce sont les Zidanes, les Noah, les Parker, les Richardson, les Ndiaye qui vont rêver la France. "
RépondreSupprimerMoi, ça ne me fait pas rêver tout ça. Mais il vrai que je ne dois plus être "la France".
"Avons-nous demandé l'avis aux populations Vietnamiennes, Maghrébines, Africaines etc. lorsque vous les avez colonisé ?"
RépondreSupprimerOui, quand les homme de gauche français (pas "nous" ou "vous") ont fait ça, ça n'était pas bien. En quoi est-ce bien si ça se passe en sens inverse ?
Vous remarquerez qu'à l'époque - pour en revenir au film - il y avait même des premières classes ! ;)
RépondreSupprimerVous remarquerez qu'à l'époque - pour en revenir au film - il y avait même des premières classes ! ;)
RépondreSupprimerPouah ! Des classes ! Ne savez pas qu'une société communiste accomplie comme l'est la France est une société sans classes ? Et sans «classe» !
RépondreSupprimerOn remarque l'élégance vestimentaire qui caratérisait cette époque, même l'homme de race noire est très élégant !
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