Les défis auxquels est confronté la France se traduisent en termes économiques parce que c'est ainsi que s'exprime la puissance, de nos jours. Mais , en réalité, ils impliquent des choix de société profonds.
Les défis, c'est une évidence, sont d'attirer l'épargne mondiale et de cultiver la croissance.
Mais si toutes les décisions gouvernementales étaient prises avec ses deux idées en tête (actuellement, ça n'est pas le cas : la seule idée dans la tête du gouvernement est de sauver un système mauvais mais qui profite aux élites), la France en serait changée de fond en comble.
Ainsi, croyez vous, pour prendre un sujet en apparence déconnecté, que nous continuerions à tolérer l'immigration de peuplement, couteuse et improductive, si notre obsession était la prospérité ?
Et ainsi, du reste.
Si l'objectif de la France était de retrouver la puissance, c'est-à-dire, dans le monde contemporain, la puissance économique, non pas en décrétant la croissance (comportement stupide), mais en réfléchissant et agissant pour la cultiver, c'est tout le pays (moins quelques enclaves allogènes et quelques noyaux gauchistes) qui serait aimanté et galvanisé.
Non seulement je ne crois pas le pays hostile au discours de l'effort, mais je suis persuadé qu'il l'attend. Pas un effort pour tenter une énième fois de sauver un système failli, mais un effort conquérant, tourné vers l'avenir.
«Pour l'avenir», la devise des Broglie ... Et pour la France.
vendredi, juillet 02, 2010
France, les défis : attirer l'épargne, cultiver la croissance
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