Robert Ménard a écrit avec son épouse un livre intitulé Vive Le Pen !
Il faut voir sur You Tube et sur Daily Motion la hargne de ses «interviouveurs». Le plus intéressant est tout de même l'unanimité de tous ces grands démocrates. Vous connaissez cette citation : quand on pense tous la même chose, c'est qu'on ne pense plus. Pas un pour dire cette chose élémentaire : «Robert Ménard a raison. Le Pen, père et fille, ont le droit de s'exprimer dans les medias et le journaliste qui les reçoit n'a pas à nous faire part de ses opinions vis-à-vis d'eux plus que vis-à-vis des autres.»
Tous ces héroïques défenseurs de la liberté d'expression trouvent, pour chaque opinion qui leur déplaît, une excellente raison d'interdire son expression. Ce sont souvent également de grands réformistes : pour la réforme en général et contre chaque réforme en particulier. Ils ont le même raisonnement partout.
Pour ceux qui douteraient encore de la politisation extrême des journalistes français, il suffit de regarder ces émissions, le parti-pris est frappant.
Les journalistes se rendent-ils compte qu'ils sont complètement coupés de la société française ? Qu'ils se préparent des lendemains qui pourraient déchanter très fort ?
Car les medias français sont soutenus à bout de bras par les subventions, les Français s'en détournent massivement. Et si un jour les subventions diminuaient, ces plumitifs ne pourraient plus compter sur les lecteurs qu'ils se sont ingéniés à mépriser et à faire fuir.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire