La lecture de Chesterton m'était conseillée par deux auteurs, l'un que j'admire sans réserves, Simon Leys, l'autre que je respecte avec beaucoup de réserves, Alain Finkielkraut.
Le conseil était excellent.
Chesterton est lumineux et profond. Par beaucoup de cotés, il me rappelle Blaise Pascal, ce n'est pas un mince compliment.
Tard converti au catholicisme, Chesterton nous livre une apologie du christianisme stupéfiante d'intelligence.
De toute façon, un homme qui pense que matriarcat et anarchie morale sont strictement synonymes ne peut être mauvais ! Les hommes de 2013, héritiers malheureux de la forclusion du père, sont bien placés pour le savoir.
Je ne peux que vous re-transmettre le conseil de Leys et Finkielkraut.
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