Donald Trump s'en prend à une icône des droits civiques
C'est bien, c'est très bien.
C'est peut-être injuste pour l'homme visé par Trump, je n'en sais rien. Mais, dans la véritable guerre qu'il faut mener à la dictature du politiquement correct, c'est une bonne tactique : une des techniques du politiquement correct pour nous imposer ses tabous et ses idées, c'est de nous cerner de prétendues "icônes" (remarquez le vocabulaire pauvre, stéréotypé ... et religieux) qui seraient intouchables et impossibles à critiquer.
Ainsi, en France, Christiane Taubira, proclamée "icône" par une certaine presse, devenait impossible à critiquer sous peine d'encourir la peine de mort sociale qu'est l'accusation (d'ailleurs, le soupçon suffit) de racisme.
Il est donc sain à long terme que Trump ne plie pas, même si à court terme, ça tache.
Bien sûr, je préférerais vivre dans un monde dans lequel les débats seraient entre gens de bonne foi et les arguments justes et équilibrés.
Mais ce n'est pas le monde dans lequel nous vivons et les excès de Trump (qui ne sont pas si excessifs, examinés de près) sont nécessaires pour briser le cercle de fer du politiquement correct.
Agression à l'acide chlorhydrique à Echirolles en Isère : le suspect a fui en Algérie
PETER HITCHENS: For once Donald Trump is right - these sordid claims stink (and you can take that from a man who knows a lot about seedy stings in Russian hotels)
Ou en français :
Les coups de pied de l’âne démocrate …
Hé oui, nous ne vivons pas dans le monde des Bisounours. Il serait peut-être temps de s'en souvenir.
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