Guillaume Perrault: « Pourquoi l'affaire Cesare Battisti restera dans les annales »
Bien des salopards de gauchistes français se sont non seulement ridiculisés dans cette affaire, mais aussi déshonorés (un mot qui revient souvent dans mes billets ces derniers temps, pas par hasard : je pense que l'absence d'honneur explique bien des maux de notre époque).
Fred Vargas, qui aurait mieux fait de continuer à écrire des romans, devrait rentrer sous terre, se faire oublier. Bien sûr, elle n'en fera rien : ces gens-là n'ont aucune vergogne.
Cette histoire est anecdotique et, comme souvent les anecdotes, révélatrice :
1) Les gauchistes ne respectent pas les hommes mais seulement leurs partisans. Quant à leurs ennemis, il peut leur arriver les pires avanies, ils s'en foutent (quand ils ne s'en réjouissent pas, quand ils ne poussent pas eux-mêmes au crime).
2) Ils sont totalement imperméables aux faits qui les dérangent (tout humain tend à rejeter les faits qui le dérangent. Le coté totalitaire de ce biais chez le gauchiste me révolte). Tournure d'esprit idéologique des plus désagréables.
3) Ils sont fascinés par le crime, disposition très hugolienne (« M. Hugo aime les assassins »).
Quelquefois, j'entends que les différences droite-gauche sont superficielles. Les gens qui disent cela doivent faire référence à la fausse droite, à la droite de gauche, façon Wauquiez-Pécresse.
Car, en réalité, les différences sont très profondes (cf Gustave Le Bon, Orwell, Thomas Sowell, etc.).
Mais , évidemment, les droitiers ont aussi leurs défauts : petitesse, irréalisme, romantisme.
mardi, mars 26, 2019
Soutien en France à Battisti : une bonne vieille saloperie gauchiste
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