L’accord négocié par Theresa May a été rejeté comme prévu par le parlement.
Les échos que j’ai de Bruxelles sont guerriers : « Il faut en foutre plein la gueule aux Anglais, il faut qu’ils souffrent » (on se souviendra d’un discours hallucinant de cette connasse de Pécresse appelant à la punition des Anglais. Et après, on s’étonne que LR, crachant sur la nation, disparaisse). Ils ne sont pas du tout dans une négociation rationnelle. Ces gens-là sont des fous, comme tous les idéologues.
La lâcheté de la majorité des parlementaires anglais, qui font semblant de ne pas avoir compris et refusent le no deal, seule voie honorable, est cousine de celle de nos politiciens détestant les Français et couchés devant Merkel.
Comme en 1940, le système politique anglais est mis à l’épreuve. Cette fois, la Manche n’est pas une protection. Nous verrons bien. Je suis curieux du résultat.
Mais, s’agissant de la France, nous le connaissons hélas déjà : nous allons nous retrouver en tête-à-tête (car les traîtres qui nous gouvernent ne veulent pas faire contrepoids en prenant la tête des pays du sud) avec l’Allemagne et sa culture de dictature et d’impérialisme. Plus largement, nous allons être prisonniers de cette Europe continentale (ah, si nos dirigeants se souvenaient que l’outremer fait de nous une puissance mondiale ...) dont la culture démocratique n’est pas le point fort.
Les Français sont abandonnés dans le malheur. Ils peuvent compter sur leur classe dirigeante pour les trahir.
Nous allons vers des jours très sombres.
mercredi, mars 13, 2019
Brexit : la guerre continue
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