mercredi, janvier 15, 2020

J'ai la trouille

Le bloc bourgeois est constitué de l'alliance du centre,  de la fausse droite et de la vraie gauche, il englobe le gouvernement, le haut fonctionnariat, le gros patronat, les syndicats, les médias, la magistrature, et il est assisté de la police, qui est pourtant sociologiquement Gilet Jaune.

Le bloc bourgeois a peur et il est égoïste, ce qui le rend fanatique.

Avec le gouvernement Macron, le bloc bourgeois continue, à visage découvert et de plus en plus brutalement, ce qu'il faisait en douce pendant la fausse alternance UMPS, tuer la France et le peuple français :

1) il favorise à outrance tout ce qui tue la France et les Français : la submersion migratoire, l'islam, la racaille. Toujours et partout, il incline vers ce qui est néfaste pour la France (Airbus, Alstom, ADP, etc.).

2) inversement, il tape comme un sourd, contre toute tentative d'auto-défense et de sursaut de la France. Les violences policières débridées contre les Gilets Jaunes, mais pas contre la racaille, sont une politique délibérée d'escalade pour justifier la tyrannie Macron.



J'ai la trouille de la tyrannie Macron. Mais c'est déjà le présent, presque le passé, même si nous n'en sommes qu'au début.

J'ai encore plus la trouille de la suite.

Ceux qui croient que le peuple français se laissera faire en restant hypnotisé par la télévision n'ont aucun recul historique. Les Français ne sont ni des Suédois ni des Allemands. Deux peuples ont coupé la tête de leur roi : les Anglais, qui quittent l'UE, et les Français, et vous croyez que ces derniers vont  rester dans l'UE sagement sans broncher ?

Si vous croyez encore que la révolte, voire la révolution, des Français va bien se passer, être juste, non-violente et pondérée, vous vous fourrez le doigt dans l'oeil jusqu'à l'épaule, omoplate incluse.

C'est pourquoi j'ai la trouille : Macron ouvre par calcul partisan la boite de Pandore des violences politiques, contre les Gilets Jaunes. Je ne sais ni quand, ni comment, ni par qui, elle sera refermée, mais je crains que d'ici là, il y ait beaucoup de morts.


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