Comme je rentre de vacances, je me sens assez en forme pour approuver le diable (ou, du moins, celui que les medias «officiels» présentent comme tel) :
Communiqué de Jean-Marie Le Pen :
Les émeutes qui ont secoué Firminy pour la troisième nuit consécutive, marquées notamment cette fois par l'incendie de sept commerces, apportent une nouvelle preuve que, malgré les rodomontades de M. Sarkozy, les forces de l'ordre ont la consigne de ne pas faire respecter l'ordre, ni de protéger les personnes et les biens.
L'obsession de la « bavure » réduit le rôle des policiers à celui de spectateurs des destructions. Et qui, eux, prennent des coups.
Il est honteux de laisser entendre, tant à la population pacifique qu'aux émeutiers, que la police nationale est incapable de rétablir l'ordre.
Cette politique de lâcheté ne fait qu'encourager les voyous dans leurs zones de non-droit.
Elle est criminelle.
Cela ne devrait pas étonner que je puisse de temps en temps approuver Le Pen : il a un coté nostalgique du nazisme absolument exécrable et repoussant. Mais il lui arrive aussi quelquefois d'exprimer une tendance «vieille France», tout à fait louable à mes yeux. C'est quasiment le seul politicien pour qui l'identité française et sa défense ne sont pas un crime.
En France, les Tibétains ont le droit de défendre leur identité, les Ouighours, les Sioux, les Guarani aussi, mais pas les Français.
Quand Le Pen dit qu'il n'y a pas de problème d'Islam en France, mais un problème d'immigration, qu'il y a tout simplement trop d'immigrés, il n'exprime que le plus pur bon sens.
Peut-être l'idée fait-elle son chemin : j'ai été surpris d'entendre récemment deux personnes que je classe comme socialistes me déclarer spontanément, alors que la conversation ne portait pas directement sur ce sujet, que le problème principal de la France était qu'il y a trop d'immigrés, notamment africains et nord-africains, et que leurs papiers officiels français n'en faisaient pas pour autant de vrais Français. Il y a longtemps que j'en suis convaincu, mais je m'étonne d'entendre cette vérité de gens qui viennent de la gauche.
Notamment, l'un d'eux a eu cette année sa fille en première année dans une maternelle publique à forte proportion de population «diverse» (donc le paradis éducatif d'après le seul dogme qui a droit à la parole publique). Il a été frappé, pour ne pas dire traumatisé, par la violence, la grossièreté, l'incivisme de cette population ainsi que par la complaisance et le laxisme du corps enseignant. Sa fille continuera l'école dans le privé.
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"Il a été frappé, pour ne pas dire traumatisé, par la violence, la grossièreté, l'incivisme de cette population"
RépondreSupprimerIl s'attendait à quoi ? De plus, la population des enfants de la maternelle n'est pas ,et de loin, la plus déplaisante, il n'a qu'à aller dans un collège.
Et ce n'est pas fini si son fils va plus tard dans un collège privé remplis d'enfants de cadres supérieurs non disponibles pour l'éducation de leurs enfants, il va pleurer aussi.
Les plus pauvres ne s'occupent pas de l'éducation, c'est la cité qui s'en charge. Les plus riches non plus,ils croient que l'argent rattrapent leur absence. Dans les deux cas, c'est un manque flagrant de prise de responsabilité.
Pour revenir à votre interlocuteur initial, c'est du "faites comme je dis pas comme je fais", qui commence à se rendre compte avec naiveté. Laisser son enfant aurait eu au moins un avantage, cela forme le caractère. et j'en parle en connaissance de cause.