Dans cette lettre ouverte, PM Couteaux massacre Régis Debray qui a écrit en préface des discours de De Gaulle que son mérite fut d'offrir à la France une sortie de l'histoire digne.
PM Couteaux travaille à une analyse de De Gaulle à la lumière du christianisme. Il était donc mûr pour foutre des grands coups de tatane, bien mérités, à ce sophiste mondain de Debray. En effet, pour faire de De Gaulle un Bossuet prononçant l'oraison funèbre de la France, il faut un sacré toupet.
Evidemment, Debray omet de préciser la première définition que De Gaulle a donné de lui-même : «Je suis un Français libre. Je crois en Dieu et en ma patrie. Je ne suis l'homme de personne. J'ai une mission et je n'en ai qu'une, celle de poursuivre la lutte pour la libération de mon pays. Je déclare solennellement que je ne suis attaché à aucun parti politique, ni lié à aucun politicien, quel qu'il soit, ni du centre, ni de la droite, ni de la gauche. Je n'ai qu'un but : délivrer la France.»
En effet, cette présentation, plaçant à même hauteur Dieu et la patrie, met à bas le douillet fatalisme de Debray car elle empêche de faire l'impasse sur les trois vertus théologales que De Gaulle possédait au plus au point et qu'il appliquait à la France: Foi, Espérance, Charité (1); foi dans l'avenir de la France, espérance dans la victoire, charité pour le peuple français, dont on attend le meilleur, même quand il est plus bas, au plus minable.
On retrouve la part christique du roi de France, fils ainé de l'Eglise.
Il ne faut jamais désespérer de la France et de son peuple : ce n'est pas une analyse rationelle, c'est un acte de foi et, pourtant, la foi et la réalité se rejoignent souvent.
Le drame de la France actuelle est qu'elle subit un lent déclin et non une franche catastrophe. En cas de désastre, la France sait faire surgir un sauveur (Jeanne d'Arc, Condé, Carnot, Napoléon, Clemenceau, De Gaulle). Un déclin pénible mais à la douleur diffuse anesthésie les Français.
Le peuple français est encore capable de sursauts, de saines réactions, en répondant non au referendum de 2005 sur l'engluement dans l'Europe, par exemple (2).
***************
(1) : clin d'oeil aéronautique : les trois Gloster Gladiator qui défendaient Malte en 1940 étaient surnommés Faith, Hope and Charity. Le fuselage de Faith a la place d'honneur au petit musée de Malte.
(2) : la vérité m'oblige à dire que j'appelais à voter « oui ». Tout le monde peut se tromper.
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MORT DE RIRE ! Un ultralibéral, partisan de la privatisation de la sécu, qui nous fait l'apologie de de Gaulle ! On aura tout vu !
RépondreSupprimerPrécisément, vous trahissez le gaulisme, en vous mettant à la remorque du sionisme et de l'atlantisme ! Votre blog est un cloaque à la solde du mondialisme libéral.
Un article qui explique tout cela bien mieux que moi :
http://omnibus44.canalblog.com/archives/2010/06/14/18288524.html
L'âme de la France, vous ? On ne va pas s'entendre ! Je suis un vieux patriote, depuis l'âge de... au hasard, tiens, environ 15 ans. Et un patriote social, pas une libéral-répressif comme vous semblez l'être ! C'est dans mon coeur, mes souvenirs, mes espoirs et mes idéaux que commence la patrie, pas dans les rancoeurs.
Je sens que nous allons nous amunser tous les deux. hi hi hi
Je vous mets en favori.
Puis je vous faire remarquer, en restant factuel, que si l'on s'en tient au taux de dépenses publiques dans le PIB, qui est ubne assez bonne mesure de libéralisme, la France actuelle est deux fois moins libéral que la France gaulliste ?
RépondreSupprimerDe Gaulle était étatiste, certes, mais pas doctrinaire au point de tomber dans notre folie, où la distribution des richesses en tue la production.
Et voilà, répétition de l'intoxication habituelle sur les déficits publics !
RépondreSupprimerEn 1973, le laquais de la Banque Rotschild, Pompidou, a livré la souveraineté monétaire de la nation aux escrocs des banques privées. Au lieu de battre monnaie, nous l'empruntons aux banksters qui en tirent 50 milliards d'intérêt par an.
La dette publique correspond presque exactement au montant des intérêts estorqués cumulés.
http://ecosocietal.wordpress.com/2009/10/19/
Donc bidon le problème des retraites, bidon le poids du social, bidon la culpabilisation de l'assuré social !
Quel commentaire édifiant sur l'absence de réflexion sérieuse et l'incompréhension vis à vis des questions économiques! La dette, c'est rien, voyons, puisque nous mourrons tous un jour et puis jouer à la cigale, qu'est-ce que c'est amusant, surtout si l'on vit aux dépens des autres tout en leur faisant croire que c'est normal puisque ce sont que des cochons de payeurs...
RépondreSupprimerAvec de telles idées, nous sommes sûrs d'être à l'abri, pas de doute, le ciel ne nous tombera jamais sur la tête!
Eh eh ! Je n'ai pas dit que la dette, c'était rien ! J'ai dit que la dette actuelle résulte d'une escroquerie. Manifestement, mon commentaire et mon lien n'a pas été lu...
RépondreSupprimerSi le niveau de vie se dégrade, c'est à cause de ce siphonnage par la finance mondialiste. Avant, les ouvriers avaient leur maison. Maintenant, ils sont dans des cages à lapin et les anciennes maison ouvrières sont rachetées par des médecins ou des cadres qui en plus s'endettent pour les avoir.
N'importe quel abruti peut comprendre, devant cette situation, qu'il y a une arnaque. Elle est identifiée dans mon message.
Hors de question d'engraisser les banksters ! Du temps des rois, ils auraient été roués vifs !
Franck,
RépondreSupprimerconcernant votre vote de 2005, c'est justement la charité qui me pousse à vous accorder mon pardon !-). J'avais voté non en 2005 mais oui pour Maastricht !
Pour le reste, quel parallèle (évident ?) peut-on faire, cependant, avec Pétain ! Quand il dit "je fais don de ma personne à la France", il est exactement dans la même logique christique que De Gaulle. Sauf que l'un se met sur la route du Golgotta et l'autre va directement à la résurrection !
Foi contre Foi, pénitence contre pénitence ? Vaste débat !
Avez vous lu l'excellent article de Bruneteau dans le dernier NRH intitulé "Hitler pour 1000 ans" ?
PRR,
RépondreSupprimerLa NRH de quand ?
Phoebastria,
Je dois lire, dans ma pile, un livre intitulé Le communisme de marché. Je pense que le thème vous plairait.
N'oubliez pas que l'Etat-mamma qui finance l'assistanat (et donc achète les électeurs) à coup de dettes a partie liée avec la finance mondialisée. La grande libéralisation financière en France date du gouvernement Fabius parce qu'il fallait attirer les investisseurs pour leur fourguer la dette française.
Un véritable étatiste, comme de Gaulle, préfère un Etat pérenne, fort et indépendant des créanciers, et donc désendetté.
Pétain et De Gaulle incarnaient deux figures religieuses diamétralement opposées.
RépondreSupprimerPétain était dans la repentance (très à la mode, encore une preuve que le pétainisme a gagné la bataille intellectuelle. Les antifascistes-avec-70-ans-de-retard n'ont pas peu contribué à cette victoire posthume du pétainisme).
De Gaulle était le prophète fulminant qui délivre le peuple élu des chaines de l'esclavage.
le dernier NRH (Pétain en photo, encore !)
RépondreSupprimerPas encore reçu.
RépondreSupprimerUn autre lien à propos de la souveraineté monétaire (Maurice Allais) :
RépondreSupprimerhttp://www.egaliteetreconciliation.fr/Hommage-a-Maurice-Allais-redonner-aux-Etats-le-pouvoir-d-emettre-de-la-monnaie-3970.html
Phoebastria a un grand mérite : me rappeler pourquoi je ne suis pas gaulliste ! Si j'ai beaucoup d'admiration pour l'homme du 18 juin, je reste très sceptique face au protectionnisme simpliste et à la condescendance sociale de nombreux de ses partisans.
RépondreSupprimerCher Phoebastria, vous mélangez tout dans un délire conspirationniste et refusez la complexité des systèmes financiers internationaux pour n'y voir qu'une volonté perverse (et certainement israélite) de paupérisation de l'Occident. On peut vouloir un Etat fort et une société libérale. Si ce n'est pas du Gaullisme, il s'agit certainement de Churchillisme ! Contrairement à beaucoup d'autres, Churchill quitta son parti pour rester fidèle à ses principes...
Phoebastria cet inconnu qui aime tant donner des leçons. Mais sont elles bonnes ces leçons ?
RépondreSupprimerLa personnalité d'un intervenant ne reste pas longtemps cachée.
Il suffit de connaitre ses amis et ses allégeances.
Là c'est E&R de ce pauvre Soral en mal de célébrité.
Et puis il y a le reste. Ceux intitulés sites amis.
Parmi eux citons le réseau Voltaire, Dieudonné, Reopen911, le site de soutien d'Hugo Chavez.... Mais oui il y a des petites putains que rien ne rebute !!
Vous voulez vous marrer ? Allez y, sur ses liens "de confiance", la nébuleuse de la Tarlouzerie islamo-gauchiste !
.... çà vaut le jus !
Et depuis quand ces collabos s'autorisent à donner des leçons de patriotisme aux Résistants ?
Hi hi hi hi.
RépondreSupprimerJ'ai évidemment mis ces liens dans le but de montrer mes sympathies ! Si j'avais voulu m'en cacher, aucune difficulté : je suis intervenu sur un thème décalé, les droits des lycéens, sur lesquels les ultralibéraux crachent. Avec une telle conviction, vous auriez accolé une étiquette gauchiste pédécrate. Une fois dans le tiroir, vous n'auriez rien vu.
Ou alors vous en auriez conclu à mon incohérence, à l'absurdité des mes combinaisons d'idées.
«L'absurde est le paradoxe des crétins, le paradoxe la dialectique des imbéciles» Alain SORAL.
On peut se renvoyer à l'infini des noms d'oiseaux, mais les kollabobos, ce sont pour moi évidemment les chiens ultralibéraux, la racaille atlanto-sionocrate, les néoconnards anglophiles, les thatchéristes dégénérés et les reaganiens hayékisés...
Qui défigure la France jusque dans ses paysages avec tous ces hangars commerciaux dégueulasses, qui abrutit la jeunesse pour en faire des consommateurs dociles et des employés qui lèchent le cul d'un gros bouffon de DRH inculte crasse ?
Chavez et Morales, évidemment, ce sont eux la résistance à ce monde gerbant.
«Chavez et Morales, évidemment, ce sont eux la résistance à ce monde gerbant.»
RépondreSupprimerJe rappelle que Chavez détient une sorte de record du monde : il est difficile de faire plus de pauvres avec autant de pétrole.
Phoebastria :
RépondreSupprimer"La dette publique correspond presque exactement au montant des intérêts estorqués cumulés. Donc bidon le problème des retraites, bidon le poids du social, bidon la culpabilisation de l'assuré social !"
Autrement dit, vous exigez qu'on vous prête de l'argent gratuitement : vous êtes donc un voleur. Ou un socialiste, ce qui est pareil.
Ou un musulman. (En fait, vous êtes pire qu'un musulman : car si le prêt à intérêt est théoriquement interdit en islam, en réalité, il est pratiqué moyennant différents tours de passe-passe juridico-financiers, qui aboutissent, bien entendu, à rémunérer le prêteur : c'est ce qu'on appelle la "finance islamique".)
Cet "argument", dont la stupidité le dispute à la malhonnêteté, tourne en boucle sur Internet. On le trouve en particulier sur la partie "économique" (faut le dire vite…) de Fdesouche, lequel a clairement dépassé là son niveau d'incompétence. N'importe qui de motivé peut copier-coller des relations factuelles de délits commis par des immigrés, et ça, Fdesouche le fait très bien.
Mais quand qu'il s'agit d'écrire quelque chose d'original et de sensé sur l'économie, il vaut mieux connaître un tout petit peu son sujet.
"J'ai dit que la dette actuelle résulte d'une escroquerie."
RépondreSupprimerTout à fait. L'escroquerie de gens comme Phoebastria : les stato-gauchistes qui prétendent que l'argent pousse sur un arbre que de Gaulle avait planté dans la cour de l'Elysée, et qu'on peut vivre en volant de l'argent à des gens à qui on ne le rendra jamais.
"C'est dans mon coeur, mes souvenirs, mes espoirs et mes idéaux que commence la patrie, pas dans les rancoeurs."
RépondreSupprimerBah oui. Phoebastria n'a pas de rancoeurs, c'est évident. La preuve :
"Votre blog est un cloaque à la solde du mondialisme libéral."
"Vous trahissez le gaulisme, en vous mettant à la remorque du sionisme et de l'atlantisme."
"Le laquais de la Banque Rotschild, Pompidou."
"Les escrocs des banques privées."
"Les banksters."
"N'importe quel abruti peut comprendre."
"Ils auraient été roués vifs."
Aucune rancoeur, comme vous voyez. Un modèle de sérénité et de sagesse, Phoebastria.
Ah ! et puis vous remarquerez que "c'est dans son coeur, ses souvenirs, ses espoirs et ses idéaux que commence la patrie", pour Phoebastria.
Toujours l'altruisme à sens unique des gauchistes. La patrie, c'est eux et eux seuls. Les souvenirs, les espoirs et les idéaux des autres, ça compte pas. Vous penseriez qu'un prétendu "patriote" vous demanderait au minimum votre avis, avant de réduire la patrie à sa petite personne.
Ben, nan.
Bienvenue dans le monde pervers et tordu des gauchistes, et de leur supériorité morale naturelle.
"Au lieu de battre monnaie, nous l'empruntons aux banksters."
RépondreSupprimerVoilà en quoi consiste le raisonnement économique des stato-gauchistes : pour avoir de l'argent, il suffit d'imprimer des billets.
C'est en général suggéré dans leurs interventions, mais ils osent rarement le dire noir sur blanc de cette façon.
Même un enfant de huit ans comprendrait que c'est impossible, que la vie ne marche pas comme ça.
Mais pour un prétendu gaulliste à la noix, non, c'est normal : l'Etat pourrait nous donner du pognon en l'imprimant, et, bizarrement, il ne le fait pas. Ce qui prouve que l'Etat est soit très très con, soit très très méchant.
Le niveau baisse.
Nous avons atteint un stade de raisonnement quasi-africain.
"Hors de question d'engraisser les banksters ! Du temps des rois, ils auraient été roués vifs !"
RépondreSupprimerMon pauvre ami...Ouvrez donc n'importe quel livre d'histoire et vous verrez que les banquiers jouaient un rôle immense dans le financement de l'activité de l'Etat. Même le nom de Necker ne vous dit donc rien ? Pensez-vous qu'il a toujours été possible de créer de l'argent par "un simple jeu d'écriture", pour reprendre l'expression utilisée par un de vos liens ?
Jérome.
"La dette publique correspond presque exactement au montant des intérêts estorqués cumulés."
RépondreSupprimerWouaouaoua.
En fait, une dette ne comprend pas que des intérêts, elle inclut également un capital.
Mais que voudriez-vous qu'elle comprenne d'autre ?
Jérome.
Votre dogme de la planche à billet qui produit nécessairement de l'inflation est faux. Car à chaque billet peut correspondre la création d'un bien réel, si celui-ci est injecté dans la production.
RépondreSupprimerC'est la théorie de Rudolf Kjellen, que votre incompétence et votre dogmatisme néolibéral ignore. Cela a permis la relance la plus réussie de l'histoire, mais il est très politiquemet incorrect de préciser son espace et son temps.
Enfin, expliquez-moi en quoi faire imprimer de la monnaie par une banque privée - qui le fait à partir de rien mais en exige des intérêts - serait plus sain que la souveraineté monétaire nationale... Même un gosse de 3 ans comprendrait où est l'escroquerie. Mais pas vous.
Oui, je vomis sur les escrocs et les banksters et ce n'est pas de l'aigreur : peut-on dire que celui qui haie celui qui le frappe soit aigre ? Non, c'est juste naturel, cela relève de l'instinct de survie. Mais le néolibéral formaté voudrait que l'on tende l'autre joue et que l'on dise merci. Vous confondez fraîcheur d'esprit et niaiserie !
Mais il est vrai que le système de servilité actuel, poussé à son paroxysme, c'est la mentalité du cabot : modre celui qui le caresse et lécher celui qui le bat (c'est ainsi que Sarkozy compte être réélu en 2012 et la méthode a malheureusement ses chances de réussite).
Rappelons par ailleurs quels ont été les régimes qui ont prétendu se passer de banquiers et créer de l'argent eux-mêmes : la 1ère république (avec ses assignats), et la république de Weimar.
RépondreSupprimerDeux brillants succès, sur lesquels il est logique que E&R fonde son programme.
Jérome.
"Votre dogme de la planche à billet qui produit nécessairement de l'inflation est faux. Car à chaque billet peut correspondre la création d'un bien réel, si celui-ci est injecté dans la production".
RépondreSupprimerOui, cela est fort vraisemblable, c'est d'ailleurs à peu près la doctrine de Milton Friedman, le chef de file des "néolibéraux". Ce en quoi vous êtes parfaitement ridicule quand vous vilipendez le "néo-libéralisme".
Simplement, vous avez constaté vous-même l'ampleur de la dette : pensez-vous qu'elle ait été alignée sur le taux de croissance réel ?
Jérome.
A Robert Marchenoir. Vous ne connaissez pas "Douce France", ou ce chant patriotique russe. (Par quoi commence la Patrie).
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=KPQdJLytnVo
Voilà, comme ça j'en remets une couche sur mon patriotisme "gauchiste" !
Euh... Ce n'est pas exactement la République de Weimar que j'évoquais...
RépondreSupprimerEt contrairement à Freedman, la relance s'est passée de banquiers.
Je rappelle également qu'il y a deux moyens de prévenir toute "extorsion" d'intérêts par les banques :
RépondreSupprimer- d'une part, comme le tenancier de blog l'a indiqué, veiller à ce que le budget de l'Etat demeure équilibré.
- d'autre part, comme l'a préconisé notamment Hayek, supprimer le monopole bancaire.
Bizarrement, je doute que ces moyens -- pourtant imparables -- vous satisfassent.
Jérome.
"Et contrairement à Freedman, la relance s'est passée de banquiers".
RépondreSupprimerCette assertion n'a même pas le privilège d'être fausse, elle est seulement dépourvue de sens.
Jérome.
"En fait, une dette ne comprend pas que des intérêts, elle inclut également un capital."
RépondreSupprimerLa dette de l'Etat, les chiffres sont implacables, correspond exactement au montant des intérêts escroqués par les financiers. Si nous avions battu monnaie souverainement, la dette serait de zéro. Donc équilibré.
Pas besoin de vos foutaises d'économistes pour comprendre ça.
J'ai une formation scientifique (en vraies sciences, j'entends). Un scientifique peut faire de l'économie, la réciproque n'est pas vraie. La preuve : les conneries que Hayek a écrit sur le darwinisme en essayant de récupérer une théorie dont il ne maîtrise même pas les bases.
la Banque de Suède a donné un hochet à ce bouffon, mais bouffon il demeure. Mais ce n'est pas un bouffon qui fait rire, c'est un bouffon rance, conservateur, coincé, pourri par le fric. Hayek adore l'Eglise si elle opprime mais ne l'aime plus quand Jésus chasse les marchands du temple. A gerber.
Vous vous emportez et vous devenez vain, futile même.
RépondreSupprimerEt dans votre rage aveugle vous oubliez un élément essentiel. L'argent papier qui se créé (peu importe qui le créé) reflète toujours une valeur à une époque donnée.
Et l'échange des valeurs (la bourse entre autres) est basée sur la confiance réciproque.
Donc des valeurs humaines....
Un peu facile de balayer comme "vains" des propos que je réponds à 4 ou 5 personnes liguées contre moi... prière de détailler l'argumentation !
RépondreSupprimerSinon, je suis bien d'accord pour la confiance... Où avez-vous vu que je niais les valeurs humaines ? C'est l'hôpital qui se fout de la charité !
"Car à chaque billet peut correspondre la création d'un bien réel, si celui-ci est injecté dans la production."
RépondreSupprimerVoici un bel exemple d'incompétence économique, vraiment époustouflant!
Sachez, Monsieur l'ignare, qu'un billet en tant que tel n'a aucune valeur, pas plus que ceux du fameux jeu... Je vous conseille donc très vivement d'aller lire les théories sur le sujet - celles des monétaristes en particulier. Vous pouvez également écouter le morceau de rap qui oppose Keynes à Hayek mais au vu de vos propos insignifiants et aveuglés par votre idéologie bornée, je doute finalement que vous puissiez y comprendre quoi que ce soit...
Dernier petit point : à votre avis si brillant, pourquoi tous les états (les plus développés bien entendu) ont-ils constitué des réserves en or? Juste pour se fabriquer quelques jolies bagues?
Tiens, c'est curieux, il y en un qui me dit qu'en parlant ainsi des billets, je suis un friedmannien qui s'ignore et l'autre qui m'explique le contraire. Allez savoir...
RépondreSupprimer"Vous pouvez également écouter le morceau de rap qui oppose Keynes à Hayek".
Ah ! Les néolibéraux se mettent à la sous-culture des racailles ! Remarquez, ce n'est pas nouveau.
Emeutes de 2005 : le principal condamné avait sa carte à l'UMP ;
Mondial 2010 : la racaille Anelké déclare se délocaliser fiscalement pour ne pas payer d'impôts en France.
Racailles d'en haut, racailles d'en bas, même combat !
"Et qui ne voit pas que cette idéologie du tout à moi, rien pour les autres, fait se rejoindre dans un arc en apparence improbable mais en vérité tellement cohérent le Trader escroc de Goldman Sachs, aux milliards de bonus volés à des millions de petits épargnants, et le dealer des cités trafiquant pour gagner en une journée le salaire mensuel d’un ouvrier français, et qui tue pour une cigarette refusée !"
Jean-Marie LE PEN, 1er mai 2010.
Votre dogme de la planche à billet qui produit nécessairement de l'inflation est faux.
RépondreSupprimerAh bon ?
Un petit lien pour vous montrer ce qu'on peut faire avec une planche à billet :
http://www.financialjesus.com/financial-crisis/inflation-in-zimbabwe-pictures-2/
Ainsi peut-on éviter de passer pour un imbécile sur un blog et encore je reste poli.
"les droits des lycéens"
Mais quels sont-ils ces droits ?
Voter ? Ils n'ont pas l'âge requis.
Faire grève ? Pour faire grève il faut un contrat de travail. Est-ce le cas ? Monter un syndicat ? Même réponse que précédemment.
Deux choses différentes.
RépondreSupprimer1) Vous me balancez Mugabé à la gueule ! Je l'ai dit à mots couvert, mais je parlais de la relance de l'économie en Allemagne de 1933 à 1938.
Voilà. Sans cautionner, bien sûr, ce qui s'est passé après. Je croyais que vous aviez compris... J'attends maintenant mon accusation de nazislamisme. MDR (Les anathèmes des gauchistes, vous saurez vous en emparer, je n'enn doute pas).
2) Les droits des lycéens ? Ben si les mineurs ont une capacité associative. En 1991, quand nous l'avions obtenue, j'étais de la partie. Je suis un peu un expert de ces questions, car j'ai gardé cela à coeur.
La loi de 1901 n'a jamais exclu les jeunes du droit associatif, cela vient d'une pratique bureaucratique ultérieure.
Maintenant on peut être président d'association, sans consentement des parents. Je n'invente rien. Ces droits sont reconnus dans les réglements intérieurs des lycées.
Le droit de manifester n'est pas lié non plus à la mojorité. On peut être syndiqué quand on travaille, quel que soit son âge. Enfin, beaucoup d'hommes politiques éminants ont adhéré à des partis à 14 ans, et ce il y a fort longtemps (Mendes et bien d'autres).
Donc vous avez tout faux. ET encore, si vous alliez voir chez nos voisins, nous sommes assez arriérés sur ces questions.
Et au-delà des textes, un peu de bon sens pour reconnaître le droit naturel d'une personne à s'exprimer quel que soit son statut civil. Un peu de bon sens ou de coeur, au choix... Mais l'idée qu'à 16 ans on s'exprime à votre égal insupporte votre aigreur...
Que les conservateurs-libéraux n'aiment pas la liberté, ce n'est pas une nouveauté.
Au départ, ils ont inventé le vote censitaire. Puis le suffrage universel, imposé par la République, ils ont fini par l'accepter 20 ans après. Idem pour le vote des femmes. Alors des droits aux jeunes gens, qu'ils aient la même attitude n'est pas étonnant.
Ils sont cependant obligés de reconnaître, ne serait-ce que par vil intérêt. Vos amis de l'UNI ont créé l'UNI-lycée, acceptant de fait ces droits. MDR
Que l'arrière-garde traîne encore la patte... logique XPTDR.
"Je suis un peu un expert de ces questions, car j'ai gardé cela à coeur."
RépondreSupprimerAh oui, comme pour la patrie, en fait :
"C'est dans mon coeur, mes souvenirs, mes espoirs et mes idéaux que commence la patrie."
C'est dans le coeur de Phoebastria, donc Phoebastria a raison contre tout le monde. Raisonnement digne d'un enfant de, mettons, six ans. Pas étonnant que Phoebastria nous parle de sa "lutte" pour "les droits des lycéens" il y a vingt ans. Il n'a pas beaucoup appris depuis.
"J'ai une formation scientifique (en vraies sciences, j'entends). Un scientifique peut faire de l'économie, la réciproque n'est pas vraie."
Avoir une formation en sciences dures n'est pas un gage de rectitude morale ni de compréhension des hommes. La preuve dans la phrase ci-dessus.
Un soi-disant scientifique qui prétend être en mesure de "faire de l'économie" à l'instar d'un économiste, sans jamais avoir étudié l'économie, c'est évidemment grotesque -- et bien éloigné de l'esprit scientifique.
En gros, nous avons ici quelqu'un qui récuse la validité même de la science économique, mais prétend pouvoir faire de l'économie mieux que les économistes. Contradiction gauchiste typique.
Contradiction typique de la mentalité musulmane, également. L'islam prétend révérer Jésus -- mais c'est pour mieux le trahir, car tout le dogme musulman est en contradiction avec les enseignements et la vie de Jésus.
On comprend pourquoi les uns s'entendent si bien avec les autres -- pour l'instant. Voilà ce qui permet l'existence de mouvements aussi baroques qu'Enculade et Résignation.
Concernant la prétendue lucidité que des études scientifiques conféreraient à leur titulaire, il faut noter que de nombreux terroristes musulmans, ayant perpétré des attentats abominables, avaient une formation scientifique : médecins et ingénieurs, notamment.
Cela ne les a pas empêché de se faire les prosélytes de l'un des dogmes les plus irrationnels, les plus illogiques et les plus anti-scientifiques du monde. Et cela ne les a pas empêché d'adopter un comportement criminel.
Soyez gentil, ici c'est un blog sérieux, d'une certaine tenue intellectuelle -- et morale. Vous n'avez visiblement pas le niveau. Ah ! Et puis lisez quelques livres sur la vie, les opinions politiques et l'action de de Gaulle, ça vous évitera de dire des bêtises. Au revoir.
Je ne sais si je dis des bêtises, mais ce que j'écris sur les droits des lycéens est juridiquement exact. Vous vous êtes bien gardé de me répondre sur le fond, vous avez fait une échappée vers mon SENTIMENT patriotique, sans que l'on voit le lien.
RépondreSupprimerSENTIMENT = PATRIOTISME
IDEOLOGIE = NATIONALISME
Je ne me tiens finalement pas si mal pour ce blog de haute volée...
"Enculade et résignation" : voilà en effet quelque chose d'une haute tenure intellectuelle, qui me dépasse de 100 longueurs.
Bien à vous.
Je ne sais si je dis des bêtises, mais ce que j'écris sur les droits des lycéens est juridiquement exact. Vous vous êtes bien gardé de me répondre sur le fond, vous avez fait une échappée vers mon SENTIMENT patriotique, sans que l'on voit le lien.
RépondreSupprimerSENTIMENT = PATRIOTISME
IDEOLOGIE = NATIONALISME
Je ne me tiens finalement pas si mal pour ce blog de haute volée...
"Enculade et résignation" : voilà en effet quelque chose d'une haute tenure intellectuelle, qui me dépasse de 100 longueurs.
Bien à vous.
"Enculade et résignation" : voilà en effet quelque chose d'une haute tenure intellectuelle, qui me dépasse de 100 longueurs.
RépondreSupprimer***
En effet, ça vous dépasse totalement. Vous êtes incapable de manier la langue française ("tenure"), mais vous avez des prétentions au patriotisme.
Vous êtes incapable de vous hisser au niveau de l'ironie cinglante que seule vous méritez (et qui pourtant ne vous est pas, seule, servie, confiture aux cochons -- mais vous n'en manifestez aucune gratitude) -- grande tradition française, qui est effectivement totalement étrangère aux misérables salopards de Lâcheté et Islamisation, vos frères, vos amis.
Je n'ai pas fait une échappée vers votre sentiment patriotique, c'est vous qui étalez de façon répugnante, en guise d'argument politique et rationnel, vos sentiments qui n'ont pas plus d'importance que ceux de n'importe qui.
Enfin vous vous obstinez à ne rien comprendre en alléguant que les droits des lycéens sont juridiquement reconnus -- c'est bien là le problème, bougre d'âne !...
Ah ! En bien argumentez, si le bougre d'âne en est digne... Prenez n'importe quel réglement intérieur de lycée à votre appui...
RépondreSupprimerVous êtes incapable de manier la langue française ("tenure"),
RépondreSupprimerCa c'est très bas ! E & R sont très proches sur le clavier (sans jeu de mot...)
Sur ce coup-là, vous êtres décevant, je m'attendais à plus de panache.
Cette discussion sur les lycéens me gonfle : la réponse est évidente à mes yeux et ne vaut pas le coup qu'on en discute.
RépondreSupprimerUn lycéen, ça ferme sa gueule et ça s'instruit.
Phoebastria, ça m'aurait fait plaisir que vous citiez les lycéens du 11 novembre 1940 (à quoi j'aurais répondu : 1) les lycéens de l'époque étaient nettement moins cons que les lycéens actuels 2) Situation manichéenne adaptée à l'enthousiasme juvénile).
EH, ce n'est pas moi qui l'ai relancée...
RépondreSupprimer"Un lycéen, ça ferme sa gueule et ça s'instruit."
"les lycéens de l'époque étaient nettement moins cons que les lycéens actuels"
Toujours aussin nuancé et avec des affirmations sourcées et argumentées...
De la haute volée intellectuelle dont je suis indigne...
Phoebastria, vous êtes une burne.
RépondreSupprimerVous débarquez sur un blog que vous méprisez en insultant tout le monde (premier commentaire : "Votre blog est un cloaque à la solde du mondialisme libéral.")
Et après, vous faites semblant d'être offusqué qu'on ne vous réponde pas en vous offrant le thé et les petits gâteaux.
Personne ne vous doit rien, ici.
Rendez-vous utile, allez déboucher les water-closets.
"Donc vous avez tout faux."
RépondreSupprimerPour créer un syndicat, il faut de prévaloir d'une activité professionnelle. Lycéen n'est pas une activité professionnelle malgré ce que rabâche la logorrhée diarrhéique gauchiste.
Ensuite vous me parler du droit de manifester. Moi je vous parle du droit de grève. Ce n'est pas la même chose. Pour faire grève il faut un contrat de travail. Est-ce le cas pour les lycéens ? Non; En revanche, ils ont le droit d'aller manifester (et même de créer une association) pour avoir un peu moins de boutons sur la gueule et avoir plus de chances d'attraper des filles pendant les parties de flipper au bistrot du coin.
"Un lycéen, ça ferme sa gueule et ça s'instruit."
Tout est dit.
A Theo2toulouse : je sais bien que le terme "syndicat" est abusif, que ce sont des associations loi 1901 ! Il en est exactement de même des syndicats étudiants, qui n'en sont pas vraiment ! Je n'ai jamais dit le contraire ! Je connais mon sujet !
RépondreSupprimerEn revanche, la deuxième partie de votre phrase est particulièrement méprisante. Certains, à 15 ans, disent des choses très sensées, beaucoup plus que certains septuagénaires sur RMC info.
Toute personne a le droit de s'exprimer quel que soit son état civil, vous vous dites libéraux mais finalement c'est moi le rouge-brun assumé qui défend cette base du libéralisme ! C'est bien ce genre de propos qui m'a fait prononcer le mot cloaque.
M. Boizard est un bon provocateur, il est normal qu'il reçoive les qu'il cherche.
Il fait pourtant parfois de très bons billets, et je sais le reconnaître : j'ai trouvé son texte de 2006 sur l'apprentissage à 14 ans que je contresigne à 100%. Je suis pour la liberté pour les jeunes ? Eh bien, oui, jusqu'au bout et sans incohérences ! Forcer quelqu'un à rester s'emmerder à l'école est une abomination, une perte de forces vives pour la société.
Vive le compagnonnage et l'apprentissage, d'autres voies nobles vers l'excellence. Et bien sûr je suis pour améliorer le statut de l'apprenti.
Tiens, pour enfoncer le clou par rapport à la réalité du problème de la dette :
RépondreSupprimerCharles Gave sur la dette des états