Je vous ai déjà posté ce texte, mais il me paraît assez important pour le répéter.
Why bad theories never die
Au fond, Dalrymple touche le drame de la démocratie : c'est moins fatigant et plus facile d'être con que d'être intelligent. Donc, à la fin des fins, les cons ont la peau des autres à l'usure.
C'est pourquoi la liberté d'expression totale porte en elle la mort de la démocratie, à cause de la pente vers la connerie : si on laisse tout le monde s'exprimer de tout son saoul, ce sont les cons qui ont le dernier mot.
jeudi, août 16, 2012
Pourquoi les mauvaises idées ne meurent jamais
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