On savait déjà, après le passage du PACS au «mariage homosexuel», que les salopards qui nous jurent que les risques de dérives polygames, incestueuses et mercantiles ne sont que des fantasmes et que « jamais, jamais, ...» mentaient comme des arracheurs de dents.
Voilà que neuf ans après le «mariage homosexuel» et l'euthanasie pour les adultes, la Belgique en est à envisager l'euthanasie des enfants :
L'euthanasie pour les enfants ?
Chaque fait, français ou étranger, chaque pancarte, chaque slogan, chaque silence même, viennent confirmer ce qu'affirment depuis le début les opposants au «mariage homosexuel» : euthanasie, mères-porteuses, «mariage homosexuel», marchandisation de l'humain sont les pièces d'une philosophie cohérente, mortifère, nihiliste et déshumanisante.
Accepter l'une quelconque de ces pièces, c'est renforcer la probabilité de faire passer les autres, dans une progression de perroquet suicidaire.
Il nous appartient d'être intelligents, d'analyser les conséquences de nos décisions dans l'immédiat mais aussi à long terme, d'imaginer les conséquences voulues, mais aussi d'anticiper les dérives, d'intégrer tout cela dans une perspective d'ensemble.
Si on fait cet effort, il est impossible d'être partisan du «mariage homosexuel» sauf à considérer que l'homme est entièrement matériel, un amas temporaire de cellules et peut être envisagé comme une marchandise.
D'ailleurs, les plus cohérents des partisans du «mariage homosexuel» ne disent pas le contraire. Je respecte au moins cette cohérence et cette franchise.
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