Attentats islamistes : le parti du déni
Il y a quelques années, j’aurais sans doute trouvé ce texte simpliste. Après tout, il y a des modérés dans tous les camps.
Mais les coupeurs de cheveux en quatre, les détourneurs d’attention, les pinailleurs de télévision, les mitres molles ont fini par m’ouvrir les yeux sur ce qu’ils étaient vraiment : des traîtres.
Les modérés, c'est pour après la guerre, pour faire la paix. Mais, pendant la guerre, il n'y a que des patriotes et des traitres.
On est contre l’islamisme et pour la France, on se bat . Ou alors on ne se bat pas et on est un traître, à traiter comme tel (il y a des peines prévues pour cela).
Hollande, qui n’ose même pas prononcer le mot « islamisme » ? Traître. Sarkozy, qui n’a pas jugulé l’immigration musulmane ? Traître. Juppé, qui prend prétexte d’un impossible accommodement, pour procrastiner ? Traître.
Orwell a plus de bon sens et d’honnêteté que toute notre classe jacassante réunie.
Oui, la guerre est terrible, mais il y a pire. Il y a la servitude. C'est de Churchill, mais cela pourrait tout aussi bien être de Léonidas ou de Thémistocle. C'est de tous les temps.
jeudi, juin 16, 2016
« Une fois la guerre commencée, la neutralité n’existe plus »
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