La gauche casse les statues, comme DAECH (je ne vais pas pas revenir ici trop longuement sur les grandes parentés idéologiques et psychologiques entre islam et gauchisme. L'islamo-gauchisme n'est pas une aberration, il est naturel). Arrêtons nous juste à cette histoire de statues :
Mathieu Bock-Côté : « La chasse aux statues ou le nouveau délire pénitentiel de l'Occident »
De plus en plus fréquemment, l'actualité et la politique se font sur la mode de l'hystérie.
J'y vois trois raisons :
1) L'hystérie est un comportement féminin (même si des hommes peuvent être hystériques). On donne beaucoup trop d'influence aux femmes dans le débat public. Ce sont les valeurs et les comportements féminins qui servent de diapason. Pas étonnant donc que l'hystérie soit à la mode. C'est mauvais : les femmes n'ont pas la tête politique.
2) L'effondrement de l'intelligence des occidentaux. Il est plus facile de se mettre en colère et de crier que de réfléchir et de se retenir.
3) La perte de repères. Quand on vit dans un relativisme absolu, quand on considère que toutes les idées, toutes les morales, tous les comportements se valent, on n'a plus d'arguments rationnels et raisonnables pour défendre ce à quoi on persiste à croire. Il ne reste donc plus que le bruit et la fureur pour défendre ce qui nous tient à coeur.
Il peut sembler étrange que les musulmans (dont on ne peut pas dire qu'ils se laissent trop influencer par les femmes !) aient le même genre de comportement hystérique que les gauchistes. Mais l'hystérie a pour origine la frustration sexuelle et l'islam est la religion qui utilise la frustration sexuelle poussée au maximum comme moyen de contrôle et de manipulation.
mardi, août 29, 2017
La gauche comme DAECH (hystéries contemporaines)
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