Enfin un article qui ne ne nous raconte pas qu'arrêter l'invasion migratoire est impossible et qu'il faut s'y résigner, mon bon monsieur :
Migrants (1) : traiter le problème à la racine
Il reprend le point fondamental de la méthode australienne : externaliser l'accueil des candidats à l'immigration, les empêcher de foutre un pied chez nous. Parce qu'avec nos xénophiles hystériques et nos lois à la con, s'ils foutent un pied chez nous, c'est nous qui sommes foutus.
Je suis beaucoup moins d'accord avec le deuxième volet, l'aide au développement. L'aide au développement n'a jamais aidé personne et a toujours couté trop cher, pour que quelques blancs qui culpabilisent s'achètent une bonne conscience. La vérité est que le développement ne peut être qu'endogène.
En revanche, l'idée d'établir des zones sécurisées est à étudier.
Bien sûr, tout cela n'arrivera pas : nos dirigeants sont trop cons, trop lâches, trop incompétents. Plus encore, je les crois travaillés par une pulsion nihiliste les poussant à détruire les pays dont ils ont la charge (l'analyse de cette pulsion nous mènerait trop loin pour ce court billet, mais je pense que mes fidèles lecteurs ont une idée assez précise de ce que j'ai en tête).
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(1) : je n'aime pas ce vocabulaire, «migrants», qui oublie avec une parfaite mauvaise foi le «im» qui nous signifie sans ambiguité qu'ils ne se rendent pas n'importe où mais chez nous, qu'ils ont l'intention d'y entrer.
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