On n est pas forcement d accord 2104 par rtl-fr
Il dit tout ce que j'avais envie de vous écrire. Si l'on met bout à bout :
- la déclaration de Manuels Valls à un journal portugais disant qu'il était hors de question de laisser le Front National accéder au pouvoir «à cause de la bombe atomique».
- les lois scélérates muselant la liberté d'expression.
- la loi sur le renseignement étendant l'arbitraire policier à la «mise en cause de la forme républicaine des institutions».
On a le prétexte, les instruments juridiques et les instruments policiers permettant de tuer toute réelle opposition à la bien-pensance.
Il ne sera plus loisible de discuter (et encore) que de rythme et de tempo : plus d'immigration tout de suite ou la semaine prochaine ? Plus de bureaucratie bruxelloise tout de suite ou dans trois jours ? Plus d'hygiénisme, de dictature des minorités, de pantomime féministe etc. tout de suite ou la mois prochain ?
Mais les politiques de la bien-pensance ne pourront plus être remises en question. Nous n'aurons, nous n'avons déjà, plus le choix qu'entre être «d'accord», «tout à fait d'accord» ou «pas d'accord, on ne va pas encore assez loin, il faut encore plus de "progrès" et d'"avancées"».
La dictature est de moins en moins molle.
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