J'aurais pu aussi titrer ce message No change has come to America.
En matière de sauvetage des banques, le gouvernement Obama reprend le pire de la politique de Bush, le sauvetage des banques aux frais du contribuable sans discussion.
Les histoires de bonus et de salaires, c'est de la poudre aux yeux pour les gogos.
Le sauvetage des banques qui serait à la fois sain et efficace, sans rien couter au contribuable, consisterait à forcer la transformation des créances en capital. Cela ratiboiserait les créanciers et les actionnaires imprudents des mauvaises banques.
L'autre possibilité, plus radicale, est de laisser les mauvaises banques faire faillite les banques et de récupérer les dettes des faillis à prix cassés.
Bien entendu, les dits actionnaires et créanciers ne veulent à aucun prix de ces solutions et ils ont l'oreille du gouvernement Obama. C'est vrai que la révolution par rapport à Bush crève les yeux !
La seule chose qui puisse nous sauver de la dépression, c'est que les Américains rétablissent la santé de leur économie malgré leur gouvernement.
Accrochez vos ceintures.
The bad bank assets proposal : even worse than you imagined
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TV.
RépondreSupprimerOk, no, techno. D is coming everywhere, work the fear here.
20 min. 2. non
RépondreSupprimer@, le post ok
James Surowiecki répond à Yves Smith :
RépondreSupprimerhttp://www.newyorker.com/online/blogs/jamessurowiecki/
cordialement
Paulo