mardi, avril 21, 2009

L'anti-France (2)

Je pense que la présence de plus en plus prégnante de l'anti-France nécessite l'intervention musclée de Super-Dupond.

Cette anti-France a deux origines qui confluent dans le grand fleuve de l'anti-France :

> une importante frange de la population d'origine immigrée qui est française sans se sentir française. Les gouvernements successifs n'ont pas su se montrer exigeants avec ces immigrés, notamment à l'école, et les ont habitués à l'assistanat, qui est la pire chose qui puisse arriver à une population («Si tu veux qu'il t'aime, apprends lui à pêcher. Si tu veux qu'il te haïsse, donne lui un poisson»). J'en connais : de vrais parasites de la société, connaissant toutes les arcanes et les démarches de l'assistanat, qui n'en ont jamais assez et n'apportent ni ne créent jamais rien.

> Cette frange d'origine immigrée a en miroir une frange d'origine française, qui s'est elle aussi habituée à l'assistanat comme un du, au point, là encore, de considérer que l'Etat, donc le pays, n'en fait jamais assez pour eux, sans qu'ils ne fassent jamais rien pour lui. De plus, cette frange a hérité de l'auto-dénigrement collectif provenant du traumatisme des deux guerres mondiales et des guerres coloniales.

Avant que vous ne critiquiez mes propos comme caricaturaux, réflexe de la bien-pensance sur la défensive, je précise que je connais des cas dans les catégories que je cite d'assez près pour avoir une opinion argumentée sur leur comportement et sur ses causes.

Il se peut que je me trompe, que ce que je connais autour de moi soit peu représentatif, mais je n'en vois pas les raisons éventuelles. Au contraire, j'incline à penser que, si manque de représentativité il y a, c'est que le milieu dans lequel je vis minimise, plutôt qu'exagère, les ravages de l'assistanat.

Les nationalistes ont le slogan «La France, aimez la ou quittez la !» Bien sûr, comme tout slogan, il est facile mais surtout il procède me semble-t-il d'une erreur d'analyse : tout ce que je baptise anti-France (pour les ignares : c'est une référence à Giotlieb) ne saurait pas où aller si par un coup de baguette magique ils étaient expulsés.

Regardez ces jeunes d'origine africaine qui crachent sur la France : croyez vous qu'ils se sentiraient chez eux au Maroc, au Cameroun ou au Sénégal ? Ils ne sentent pas d'ici, mais ils ne sont pas d'ailleurs non plus.

Maintenant, que faire ? D'abord dire la vérité : il y a une génération perdue, tant d'origine immigrée que française, dont l'éducation a été mal faite et dont il n'y a pas grand-chose à tirer. Si l'on coupe les vannes de l'assistanat et si on lutte contre les trafics qui font vivre ces marginaux, ils se révolteront, ils casseront, mais il ne leur viendra pas à l'idée de chercher du travail.

Pour ceux là, il y a la solution américaine : l'enfermement, soit dans des prisons, soit dans des cités ghettos. L'alternative à la solution américaine, c'est que les perturbateurs soient laissés en liberté et que ça soit les bons citoyens qui s'enferment. Les politiques françaises inclinent vers cette deuxième solution. Elle n'a pas ma préférence.

Pour les autres, c'est-à-dire pour ceux qui ne sont pas irrémédiablement perdus pour la société, une réforme énergique et profonde remplaçant l'assistanat par la responsabilisation, c'est-à-dire une libéralisation, ferait le plus grand bien.

Je suis persuadé, pour revenir au sujet initial de l'anti-France, que le patriotisme serait grandement amélioré car le syndrome consistant à attribuer au pays des problèmes qui relèvent de la responsabilité individuelle s'en trouverait amoindri.

D'ailleurs, on remarquera, les exemples viennent facilement, que ce n'est pas dans les pays réputés les plus libéraux que le patriotisme est le moins fort.

42 commentaires:

  1. Défaut de valeurs et de vision commune ... sans cela il n'y a pas de patriotisme au sens ou vous l'entendez Franck.

    Il y a maintenant des cloisons qui se sont formées entre des parties de la population (valeurs et vision très différentes). Si des politiques commencent maintenant à jouer un jeu malsain avec cette situation, le problème va empirer (Cf Sego qui se met à jouer la "representante" d'une partie de la France ...)

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  2. Travail, famille, patrie, pour résumer votre article. J'ai déjà vu ça quelque part...

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  3. Kreyket,

    Vous êtes égal à vous même.

    Amalgame ne vaut pas réfutation. Il faudra que vous m'expliquiez où est le mal de louer le travail, la famille et la patrie.

    Quant au fond de mon article, à savoir que l'assistanat outrancier divise la société, dégrade la vie sociale et amoindrit le patriotisme, c'est prouvé par maintes études. La France se classe dans les pays du monde où les habitants se font le moins confiance (je vous renvoie au petit ouvrage La société de défiance).

    Maintenant, que, comme bien d'autres, vous refusiez cette constation car elle vous dérange, rien de surprenant, c'est le propre des idéologues d'être imperméables aux faits

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  4. Travail, famille, patrie : c'est très bien. Où est le problème ?

    Ca vaut mieux que chômage, paresse, dissolution sociale, traîtrise, subversion.

    Ceux qui soutiennent le contraire doivent justifier leurs dires.

    La facilité avec laquelle de telles âneries sont réfutées prouve deux choses : la baisse tendancielle du quotient intellectuel en France, et l'efficacité de la propagande.

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  5. Donc vous assumez être pour la France de Vichy ? Bon alors tout est dit, je me retire en attente du prochain article.

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  7. "Donc vous assumez être pour la France de Vichy ?"

    Kreyket, essayez donc de démentir un peu, pour votre propre compte, mon constat sur la baisse du QI des Français : ne vous faites pas plus bête que vous ne l'êtes.

    Franck : ça y est, vous êtes complètement facho, maintenant. Vous ne voulez pas aller porter un peu la contradiction chez le par ailleurs excellent Vincent Bénard, mais qui semble faire un gros déni de réalité sur ce point, ainsi que nombre de ses commentateurs ?

    Ca m'évitera d'être tout seul à le faire. Et aussi d'être seul à me faire bannir en conséquence, apparemment.

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  9. "Si on est épanoui dans son travail, on est un nazi posté à l'entrée d'Auschwitz."

    Vous rigolez, Guillaume, vous rigolez. Mais cette démonstration par l'absurde que vous faites ici, beaucoup la prennent à leur compte, tout à fait sérieusement.

    Je ne compte plus tous les commentaires de gauchistes s'opposant à tout éloge du travail, au nom de la devise "Arbeit Macht Freï".

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  10. Eh bé, passque le travail est une malédiction, Messieurs, c'est bien connu. "A la sueur de ton front ..." qu'IL a dit, ce n'était pas vraiment une recompense. Alors, la gent touchée par cette malédiction voudrait étre comme ces sales capitalistes qui passent leur temps à compter leurs sous et mijoter d'autres coups bas, havane au bec (d'ailleurs, il parait que Lui aussi est un fumeur de havanes, n'est-ce pas), verre dans une main, volant de ferrari dans l'autre et blonde pulpeuse dans la troisième...
    Bon, ceci dit "travail, famille, patrie" et "arbeit macht frei" ont leurs connotations historiques et on n'y peut rien. Tout comme d'autres belles idées, telles que "amour du prochain", "solidarité entre peuples", "justice sociale" d'ailleurs . Et j'en passe. Car pour inciter les gens à faire des saloperies, il faut leur donner une belle idée, au nom de laquelle ...
    C'est bien pour cette raison, bien que je sois très souvent d'accord avec ce qu'écrit Franck, je pense que l'idée d'une éducation patriotique est mauvaise. Ça émane, et de loin, une odeur d' "ingénieurs des âmes" (un terme inventé par oncle Jojo Staline en 1932). Et les ingénieurs des âmes, qu'ils soient dedroate ou degoche, sont (ou deviennent) tous des salauds. Pas très libéral, tout ça.
    L'idée libérale, ce serait peut-être, de traiter tous ces gens comme des personnes adultes et responsables, qui assument leurs responsabilités et les conséquences de leurs actes. Si on n'a pas de boulot a proximité, on va le chercher là où il y en a (c'est un Plombier qui vous le dit, je sais de quoi je parle). Si on a commis un délit, on devrait s'attendre à une punition ("crimen grave non potest non esse punibile" date d'au moins 2000 ans). C'est clair, qu'au début, ça va être le bronx, mais comme de toute façon, tôt ou tard ça sera le bronx, autant que ça aboutisse à quelque chose de viable.
    Je sais bien que chacune des affirmations ci-dessus devrait être plus étayée, mais malheureusement, en tant que méchant capitaliste à la recherche d'un sale coup, je n'ai pas trop le temps de divaguer. Je vous souhaite une bonne journée.

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  11. Supposons que je n'aime pas les immigrés, que je ne supporte pas leur présence, qu'elle me fasse peur, etc. Selon mon bord politique, j'aurai, pour justifier ce désamour pour ne pas dire haine, pour donner une assise à cette peur, je dirais :
    - si je suis communiste/syndicaliste, je dirais que le patronat cherche à faire venir des immigrés pour faire baisser les salaires en France
    - si je suis souverainiste je rappelerai que la mondialisation ultralibérale amène "toute la misère du monde en France"
    - si je suis lepeniste, je parlerai bien entendu d'insécurité chronique et en appelerait au bon sens populaire (je préfère mes filles à mes cousines, mes cousines à mes voisines, etc.)
    - si je suis libéral, je dirais que cette population est enfermée dans l'assistanat, et qu'il faut faire une réforme d'ampleur.

    M. Boizard, il ne faut pas confondre les causes et les conséquences :
    - tout immigré (même pauvre ou très pauvre) qui n'a pas habité les cités-dortoires, mais plutôt en ville ou en pavillon voit ses enfants avoir un avenir convenable par la suite, en étant ni pro ni anti-France, mais en étant tout bêtement bien dans sa peau.
    - tout français de souche qui a habité les cités-dortoirs dans les années 60 à 90 voit ses enfants, comme ceux des immigrés, majoritairement être en difficulté voire partir en couille.

    Ainsi, le facteur "être immigré" ou "ne pas être immigré" ne colle pas et n'apporte rien en soi, si l'on s'en tient à l'observation.
    Votre vision déformée provient du fait qu'il paraît que les cités à problèmes sont majoritairement habitées par des africains.

    Bref, M. Boizard, votre analyse est tout à fait caricaturale et surtout très fausse.


    "Quant au fond de mon article, à savoir que l'assistanat outrancier divise la société, dégrade la vie sociale et amoindrit le patriotisme, c'est prouvé par maintes études."

    Sur les deux premiers, je n'ai aucun doute, mais j'aimerai avoir des précisions sur la manière dont vous parvenez à glisser la notion de patriotisme dans tout cela...

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  13. Chaque fois que je dis «un pour tous et tous pour un», je mets mon chapeau à plumes et j'embroche quiconque me regarde de travers.

    Bob,

    J'ai apporté le soutien demandé.

    Chitah,

    Pour résumer votre propos, si j'ai bien compris, ce que je prends pour des causes culturelles est en réalité le produit de causes sociales ?

    Pourquoi pas ? Seulement voilà, pourquoi les immigrés asiatiques ne posent-ils pas les mêmes problèmes, à conditions sociales équivalentes, que les immigrés africains ?

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  14. Dans le fond je m'en fout de ce débat ce n'est même pas intéressant tellement c'est stérile, c'était juste pour vous montrer à quel point tout ceci n'est pas neuf et à quel point vous êtes dans le "c'était mieux avant" mais je suis désolé si vous avez besoin de moins de subtilité.
    Pour ce qui est de mon QI et de celui des français, je connais le mien, je n'ai pas à en avoir honte, quant à celui du reste de la France, ce que je vois ici n'est pas très encourageant...
    Dernier point, je n'aime pas le discours de cet article car pour moi le travail n'est pas une valeur, le travail a de la valeur c'est différent. La famille, elle est imposée, on nait avec et c'est tout, on se soutient entre nous par instinct mais on ne peut fonder un pays dessus car la vision que chacun en a dépend de son expérience personnelle. La patrie enfin, et bien je ne vois pas ce qu'il y a de mal à ne pas aimer son pays, c'est ce qui permet d'avoir assez de volonté pour le changer et pouvoir enfin l'apprécier.

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  15. Sympa, Franck. Je suis curieux de voir les réactions.

    Kreyket : vous n'avez clairement pas le niveau pour commenter sur ce blog. Et ce n'est pas une question d'être de droite ou de gauche, libéral ou anti-libéral.

    On ne peut pas passer son temps à vous expliquer pourquoi 2 + 2 n'est pas égal à 5. En d'autres temps, vous auriez compris de vous-même que vous n'étiez pas à votre place ici.

    Par ailleurs, oui, c'était mieux avant. La preuve :

    http://pdmp2k9.blogspot.com/2009/03/plan-media.html

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  16. "Pourquoi pas ? Seulement voilà, pourquoi les immigrés asiatiques ne posent-ils pas les mêmes problèmes, à conditions sociales équivalentes, que les immigrés africains ?"

    Votre question est très mal posée.

    D'abord, est-ce que vous vous demandez :
    1 - pourquoi les immigrés asiatiques ne posent-ils pas de problèmes?
    2 - pourquoi les immigrés asiatiques qui arrivent en France dans les mêmes conditions que les immigrés africains ne posent-ils pas de problèmes?

    Ensuite, qu'est-ce qui vous permet de dire que les 5 ou 6 millions d'immigrés africains ou enfants de ceux-ci, sur le territoire, posent problème? Ce serait bien evidemment une folie, cela représente près de 10% de la population. La France serait à feu et à sang si TOUS les africains posaient problème. Les ouvriers pacifiques des chaines de montage, les arabes du coin, les commerciaux en téléphone mobiles, les employés de Carrefour, etc, d'origine africaine posent-ils problème? Bien sûr que non. Je mets cette généralisation abusive sur le compte d'une volonté de faire un message court. Parenthèse fermée.

    Revenons à votre question : la réponse est toute simple. Les immigrés asiatiques arrivent et sont arrivés dans des conditions radicalement différentes. Il y a précisément un premier sas d'entrée en France qui est la communauté déjà installée : celle-ci fournit de tout, comme au pays, allant jusqu'à prêter de l'argent pour lancer un commerce. Dans le 13ème à Paris, les annonces d'emploi collées sur les devantures de magasins sont assez peu rédigées en français. A Paris, par exemple, les tabacs et les bars PMU se font racheter par des asiatiques.

    Ce premier sas permet une certaine sécurisation de l'intégration, les enfants volant ensuite, pour la plupart, de leurs propres ailes.

    C'est d'ailleurs cocasse de voir que ce sont les arabes qui se font taxer de communautarisme rampant, alors que c'est tout le contraire : ce sont les asiatiques qui le sont le plus, et cela leur bénéficie.

    Donc au final : nul besoin d'argument racial ou religieux, le simple bon sens et l'observation permet de répondre de soi-même aux questions.

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  17. @Guillaume Demarne : arrêtez-là, en effet, le débat devient trop complexe pour vous, au-delà de "arabe=caca".

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  19. C'est d'une malhonnêteté intellectuelle rare que de faire semblant de croire que Marseille n'est pas un cas à part : sa situation singulière n'enlève rien au fait qu'au très grand maximum 10-15% des africains résidants en France s'y trouvent.
    Et que par conséquent, 85-90% des africains sont dans le cas que je cite.

    Ma généralité, comme vous dites, n'en est pas une, votre argument aurait été recevable si Marseille regroupait 40, 50, 60 % des Africains de France : c'est loin d'être le cas, donc votre remarque à deux francs n'est que de la poudre aux yeux rhétorique.

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  20. Bob,

    Votre lien m'a beaucoup fait rire. Surtout que son slogan «Le monde moderne ne sera pas châtié : il est le châtiment» correspond à mon sentiment profond.

    Je songe à Saint Exupéry qui dans les années 30 se plaignait du beuglant, mesurant la décadence entre une danse villageoise du Moyen-Age et celui-ci. Il serait abasourdi par ces chanteurs qu'on propose aujourd'hui à l'admiration des foules en extase.

    La vulgarité sentencieuse est la plaie de notre temps. On peut la diagnostiquer chez certains commentateurs de ce blog. Ils ne comprennent rien mais ont un avis sur tout.

    Il y a un test que j'aime bien faire pour mesurer notre état de détresse.

    Evoquez que l'art est nécessairement élitiste, qu'il y faut du goût et de l'intérêt, qu'il ne suffit pas à tout le monde de regarder la Joconde droit dans les yeux pour comprendre ce tableau et en être ému et que certains pourraient regarder la Joconde sous toutes les coutures jusqu'à la Saint Glinglin qu'ils n'y comprendraient jamais rien et n'en seraient jamais émus.

    Vous pourrez alors constater que la notion de goût, au sens de «avoir du goût», est devenue étrangère à la majeure partie de nos contemporains.

    Or, le goût est bien une caractéristique essentielle d'une civilisation.

    En avoir perdu la notion est on ne peut plus significatif.

    Chitah,

    A votre manière, vous me répondez que les différences d'intégration viennent de la culture d'origine des immigrés.

    Vous n'en tirez pas, contrairement à moi, la conclusion que certaines populations sont plus difficilement assimilables.

    Je vais un cran plus loin en affirmant que, pour certaines populations (africaines, disons le), on a dépassé le seuil de tolérance (expression célèbre) au delà l'immigration se fait au détriment du pays d'accueil, de sa vie en société et de sa culture.

    Bien sûr, on peut débattre éternellement de qu'est-ce qu'être français et qu'est-ce que la culture française.

    Mais, il est finalement assez facile de définir ce que ça n'est pas.

    Par exemple, la polygamie ne fait pas partie de la culture française. (En France, on n'a qu'une épouse - et les veinards plusieurs maitresses). L'Islam non plus.

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  21. "A votre manière, vous me répondez que les différences d'intégration viennent de la culture d'origine des immigrés.

    Vous n'en tirez pas, contrairement à moi, la conclusion que certaines populations sont plus difficilement assimilables.

    Je vais un cran plus loin en affirmant que, pour certaines populations (africaines, disons le), on a dépassé le seuil de tolérance (expression célèbre) au delà l'immigration se fait au détriment du pays d'accueil, de sa vie en société et de sa culture."

    Quoique vous lirez, vous resterez dans vos conclusions: je n'ai absolument pas dit que c'était la culture d'origine, à ma manière, qui était la cause. J'ai dit exactement le contraire, j'ai écrit que c'étaient les conditions d'arrivée qui semblaient déterminer le futur de telle communauté.

    A savoir, la manière dont ils sont arrivés et l'endroit où ils ont atterri.

    Si vous étiez cultivé et curieux, vous vous poseriez la questions suivante : par exemple en Corée du Sud, aux USA, en Argentine, qui sont les "bougnoules", à savoir les africains qui produisent des enfants turbulents?
    Et d'un seul coup vous auriez découvert que, aux USA, par exemple, ce sont les afro-américains et les latinos actuellement, les italiens et les marseillais dans la seconde moitié du XXème siècle, qui "posaient problème".
    Comment s'articule votre argument sur l'origine culturelle?

    Bref : dialogue de sourds, ayez votre opinion peu étayée, n'analysez pas, ne lisez pas, n'observez pas. Vos billets seront d'autant plus courts, d'autant plus vides.

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  22. Et sinon, ça fait pas froid dans le dos de reprendre, mutatis mutandis, de l'argumentation jusqu'aux mots de Charles Maurras ?

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  23. Chitah,

    J'admire votre façon de vous draper à l'antique dans votre rectitude morale. Si, si, c'est très beau. On dirait Marlon Brando dans Jules César.

    Je ne conteste pas que les conditions d'arrivée comptent (l'assistanat fait à mes yeux partie des conditions d'arrivée qui empêchent l'intégration). Vous citez les Italiens. Leurs conditions d'arrivée ont été différentes, ils se sont mieux intégrés.

    Mais je ne crois pas que toutes les cultures et toutes les populations soient égales devant l'immigration.

    Je pense que des immigrés africains sont plus difficiles à intégrer que, disons, des immigrés portugais.

    Mais, avec les bonnes méthodes et à condition que l'afflux soit raisonnable, cela n'a rien d'impossible. Cela s'est même fait assez aisément jusque dans les années 70.

    Je vois des difficultés parce que l'afflux d'immigrés a été trop important et anarchique et que nous avons fait le contraire de ce qu'il fallait faire, notamment à l'école, pour intégrer ses populations.

    Pour ma part, je l'ai déjà dit, je supprimerai la plupart des systèmes collectivistes d'assistance.

    Maintenant, que feriez vous ? (A supposer que vous estimiez qu'il y a un problème).

    Rubin,

    Le maurrassisme imprègne notre époque. Certaines diatribes contre le libéralisme pourraient sortir tout droit de Maurras (Besancenot en serait bien surpris).

    Ceci étant dit, je vous ferais la même réponse qu'à Kreyket : amalgame ne vaut pas réfutation.

    Je n'ai tout de même pas inventé les problèmes posés par l'immigration massive. Les émeutes dans les banlieues, les quartiers hors-la-loi ne sont pas seulement à la télévision.

    Il me semble bien que je suis à l'opposé de Charles Maurras sur les solutions !

    Je pense que tous les individus sont intégrables sans restriction à condition qu'on fasse pression sur eux pour qu'ils s'intègrent.

    Pour qu'une immigration soit réussie, il faut qu'on puisse en être fier, c'est-à-dire qu'on ait surmonté avec succès des obstacles. Lino Ventura disait : «Je ne suis pas d'ici : je ferme ma gueule et je bosse».

    C'est dur, même cruel, mais ça marche.

    Quand les seuls obstacles qu'on a surmontés avec succès consistent dans le remplissage des formulaires pour toucher le RMI, ça ne marche pas, on ne s'intègre pas (et c'est aussi vrai pour des immigrés que pour des Français d'origine).

    J'ajoute ceci pour les esprits forts qui trouveraient que j'en fais trop trop pour l'assitanat.

    Que pensez vous d'un jeune homme de 25 ans, Français d'origine immigré crachant sur la France, qui n'a jamais travaillé, qui n'a pas l'intention de jamais travailler, qui vivote du RMI et qui estime que la société lui doit tout pour se faire pardonner son racisme ?

    Pour moi, c'est un impardonnable gâchis humain. Alors je m'estime quelque raison d'en vouloir à l'assistanat (et à ses parents) qui lui ont expliqué qu'il avait droit à tout, sans effort, qu'il suffisait de réclamer.

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  24. Sur ce dernier post, l'ami Boizard est simplement inattaquable. Il n'y pas de confiance en soi et d'intégration sociale possibles sans obstacles et volonté personnelle de les surmonter.

    Tout le reste est blabla complaisant de démagogues. L'assistanat organisé sert en définitive beaucoup plus les politiques qui le fournissent que ses bénéficiaires qui sont déshonorés, et qui nous le font payer.

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  25. Travail, famille, patrie, pour résumer votre article. J'ai déjà vu ça quelque part...

    Les fonctionnaires qui bossaient pour Pétain ont été les mêmes à bosser pour De Gaulle, hormis les quelques cas un peu trop voyants qui ont pris la porte ou une balle dans la tronche. Ce sont les mêmes juges qui ont jugé les résistants et ceux qui leur en avaient donné l'ordre de les juger. Quant aux fonctionnaires, très peu ont refusé de prêter serment au maréchal, et il devait y en avoir un sacré paquet qui étaient de gauche, donc il faut balayer devant sa porte. Puisque vous aimez les parallèles, ls fonctionnaires de gauche qui sont contre Sarkozy ont-ils démissionné en masse pour entrer en résistance contre l'horrible néolibéral (sic) qui séjourne à l'Elysée ?

    "Arbeit macht frei" : c'est évident que le travail rend libre. Vous avez gagné votre pain par vos efforts, vous ne devez donc rien à personne alors que ceux qui se complaisent dans l'assistanat devraient avoir honte de profiter du fruit de ceux qui font des efforts pour s'en sortir.

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  26. Chitah : vous nous jouez le violon propagandiste selon lequel tout est la faute des sociétés d'accueil. Les immigrés ne seraient responsables en rien de leur non-intégration. Leur culture ne jouerait aucun rôle.

    La différence serait dans "les conditions d'arrivée". Mais c'est quoi, les "conditions d'arrivée" ? Et en quoi expliquent-elles la différence d'intégration ? Vous vous gardez bien de le dire.

    Pour justifier votre thèse, vous vous basez sur le fait que les "bougnoules", aux Etats-Unis (c'est à dire ceux qui posent des problèmes et ne s'intègrent pas), seraient les Noirs et les Mexicains.

    C'est parfaitement exact.

    L'ennui est que cela réfute votre position, pas le contraire.

    Les Noirs américains sont originaires d'Afrique. Comme les immigrés noirs en France. Ils ont donc bien la même culture d'origine. Ils ont aussi, en Afrique, le même QI dramatiquement plus bas que celui des Européens et des Américains blancs.

    Tandis que les Noirs américains, au bout de plusieurs générations à côtoyer les Blancs, ont toujours un QI gravement inférieur au leur, mais nettement supérieur à celui des Noirs d'Afrique.

    Voilà qui explique bien des choses, et certainement pas dans le sens vivrensembliste que vous tentez de défendre.

    Les immigrés mexicains, eux, ont des scores dramatiquement mauvais dans toutes les statistiques sociales, comparés aux Blancs (dont il ne vous aura pas échappé que la totalité, aux Etats-Unis, est immigrée) : délinquance, résultats scolaires, enfants hors mariage, absence d'ascension sociale d'une génération à l'autre, ignorance persistante de l'anglais, etc.

    Il se trouve aussi que le Mexique est un pays gravement dysfonctionnel (comme l'Algérie, comme l'Afrique noire) : au hasard, on notera que les trafiquants de drogue ont quasiment pris le pouvoir, au point d'obliger des chefs de la police à demander l'asile aux Etats-Unis.

    Et vous en tirez la conclusion que la culture d'origine des Mexicains n'a rien à voir avec leur échec social aux Etats-Unis ? Mais c'est exactement l'inverse que cela démontre !

    Quant aux "conditions d'arrivée", en quoi sont-elles différentes ?

    Aux Etats-Unis, c'est le coup de pied au cul pour tout le monde ; et c'est cela qui conduit à une intégration réussie, pour ceux qui le peuvent (en fonction de leur culture d'origine et de leurs capacités) et qui le veulent (en fonction de leur tempérament et de leurs efforts).

    C'est aussi, hélas, de plus en plus, depuis quelques décennies, l'assistanat social, à l'image de l'Europe ; et c'est cela qui empêche l'intégration, comme le montre l'exemple des Mexicains, qui bénéficient fortement de tartines et de tartines de programmes sociaux, et qui malgré cela, non seulement ne s'en sortent pas, mais glissent vers la subversion et le séparatisme (comme nos Algériens, nos Marocains, nos Africains, nos musulmans).

    Quant à la France, en quoi les "conditions d'arrivée" sont-elles différentes pour les Africains du Nord et du Sud, qui ne s'intègrent pas, et les Asiatiques du Sud-Est, qui le font ?

    Les Vitenamiens et les Chinois, Eric Besson va les chercher en Rolls à l'aéroport, tandis que les Africains et les Maghrébins sont accueillis, à Roissy, par des CRS en tenue de combat, à coups de fourche dans le cul ?

    Les immigrés africains grattaient le sol chez eux pour se nourrir de racines, tandis que les immigrés chinois arrivent en costume Berlutti, avec leurs domestiques, leurs malles Vuitton et des stock-options plein les poches ?

    Vous nous parlez de la solidarité communautaire des immigrés déjà établis avec les arrivants, qui existerait pour les Asiatiques, mais pas pour les Africains.

    C'est faux : cette solidarité existe dans toute les communautés. Les Maliens se retrouvent avec les Maliens, les Chinois avec les Chinois, etc. Et ce sont même les immigrés de telle région ou de tel village qui se regroupent. Bondy est massivement peuplé d'Algériens venant tous d'un même village.

    Ces même pour cela qu'existent ces fameux "ghettos", qui sont voulus par les immigrés et non imposés par les autorités, contrairement à ce que voudraient nous faire croire les zantiracistes.

    En revanche, il est parfaitement exact que cette solidarité, parmi les Africains, consiste essentiellement à se regrouper pour vivre aux dépens de l'Etat d'accueil, en soutirant aux premiers venus les trucs et astuces nécessaires pour vivre de l'assistanat, de la drogue et de la violence. Ou bien pour se faire régulariser au motif qu'ils "paient des impôts" en travaillant illégalement dans une cuisine de restaurant.

    Tandis que la solidarité ethnique, chez les Asiatiques, consiste à prêter de l'argent aux nouveaux venus pour monter des commerces et des entreprises, et s'en sortir tout seul sans sucer le pognon des Français par l'assistanat, sans les bolosser dans les autobus de nuit, et en tenant leurs enfants.

    Voilà la différence de culture, tellement éclatante que vous refusez de la voir : les Asiatiques sont respectueux des valeurs familiales, ils ont le culte du travail, ils valorisent l'éducation, ils respectent les autorités et la loi (ce qui est extrêmement mal vu chez les pseudo-intellectuels gauchistes français de souche).

    Ils sont aussi, en moyenne, plus intelligents que les Européens et que les Américains blancs. Leur QI est supérieur. Et donc, sans surprise (sauf pour un gauchiste français), ils réussissent, et en Europe et aux Etats-Unis, et souvent mieux que les Européens et les Américains de souche.

    Evidemment, tous ces faits contredisent violemment toutes les théories fumeuses qui servent d'intelligence aux gauchiste français, mélange nauséabond de Marx, Freud, Bourdieu et Foucault.

    Il n'est donc pas question de les regarder en face.

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  27. "Kreyket a dit...
    Donc vous assumez être pour la France de Vichy ?"

    Quelle erreur !

    Il n'y à rien de socialiste chez FB, alors comment faites-vous ce raprochement ?

    Pour comprendre je vous invite a parcourir "mein kampf" sur les chapitres économiques, et vous verez qu'il y a peu de difference avec le discourt des partis de gauche actuel, si ce n'est "l'international" evidement.

    Il se peut, qu'hitler n'ai jamais été raciste, mais socialiste, c'est à dire jaloux.

    Ce qui sous entend que les Juifs ont connu la shoa, non par racisme, mais parce qu'ils étaient RICHES.

    Ca change tout,
    mais on comprend mieux.

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  28. Bob,

    Je suppose que lorsque vous parlez de QI, c'est de votre part un raccourci malheureux. On n'a jamais démontré un quelconque caractère héréditaire de l'intelligence.

    Par contre, je vous suis totalement sur l'aspect culturel.

    Je pense par ailleurs que vous négligez l'impact des politiques des pays d'accueil : elles définissent une capacité globale d'intégration qui est ensuite à moduler au cas par cas suivent les caractéristiques des arrivants : culture, âge, sexe, éducation, famille ou pas, etc ...


    Esteban,

    Vous allez en faire bondir plus d'un ! Précisez tout de même que tous les juifs ne sont pas riches, j'en connais qui le regrettent d'ailleurs :-)

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  29. Je n'ai pas fait d'amalgame, et je ne cherche même pas à réfuter tes arguments.

    En revanche, je t'ai posé une question simple, et tu n'y as pas répondu. Je vais donc la reformuler, de façon encore plus simple :

    Ca fait pas mal par où ça passe de manier un concept uniquement utilisé par tout ce que la France compte de racistes, de nationalistes, de fascistes et d'antisémites ?

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  30. Esteban, vous véhiculez un vieux stéréotype de Juif-banquier, Juif- usurier, Juif-avocat, Juif-sangsue et par conséquent, la seconde partie de votre commentaire est une bêtise. Comme c'est le cas de chaque nation, la majorité des Juifs d'Europe Centrale et Orientale (les plus touchés par la Shoah) étaient pauvres. Ils devait être annihilés parce qu'ils étaient Juifs. Punkt schluss. Les gains financiers, certes importants, c'était un bonus.
    Ceci concernait également les Gitans. Quant aux Slaves, autre race "untermensch", ils devaient "juste" étre privés de leurs élites intellectuelles (c'est dur à croire, mais il y en avait) et réduits à l'état d'esclaves. Pour les nations plus "correctes", il suffirait de les nattoyer des cocos, pédés, francs-maçons et autre raclure et les inciter à accepter la juste domination de la Nation Allemande.
    Pour la première partie, je suis bien d'accord. Oncle Adolphe était bien un socialiste, avec tout ce qui traîne derriére ;-)

    Revenant au sujet principal :
    Chitah, Robert, Théo, Franck ... En ce qui concerne le rapport entre l'appartenance raciale et l'insécurité, Je vous ferais remarquer qu'il existe des pays quasiment sans immigration mais avec le même type de cité-dortoir (mouroir) dans lesquelles il vaut mieux ne pas s'avanturer. Il y est tout aussi facile de se faire casser la figure dans un bus de nuit, mais par des grands blonds aux yeux bleux, des gars bien de chez nous. Officiellement, il paraît que tout ça, c'est passqu'ils ne sont pas assez assistés par l'Etat ;-)
    D'un autre côté, c'est vrai que partout où ils viennent, les asiatiques ne posent quasiment pas de problèmes. Travailleurs, discrets, tournés vers leur famille et leur communauté, ils fonctionnent complètement à côté de la société-hôte. est-ce que, à long terme, dans une perspective "identitaire-cammunautariste" ça ne vous ferait pas plus peur ? Une question, comme-ça ...
    Bien à vous.

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  31. @Robert Marchenoir :
    "vous nous jouez le violon propagandiste selon lequel tout est la faute des sociétés d'accueil. "

    Je vous mets au défi de prouver cela. Vos réflexes pavolviens racistes, issus des discussions d'avec je ne sais qui, vous fait certainement croire cela, mais ce n'est pas le cas.
    Je parle de conditions d'arrivée (personnes seules, familles entières, connaissances regroupées, etc.) et non pas de la société d'accueil.
    Votre bêtise est donc telle que je ne lirai que la première phrase de votre dernier billet, probablement encore un excrément électronique.

    Et effectivement, à la suite de Rubin, je ne suis plus étonné de voir que la propagande maurassienne tente toujours de s'infiltrer chez les libéraux.

    @fboizard : si on est un lecteur du Parisien, ou un téléspecateur de TF1, oui on estime qu'il y a problème. Si on ne sait pas compter, oui on peut estimer qu'il y a un problème avec l'immigration africaine.

    Après, si on réfléchit deux secondes, et qu'on se rend compte que par exemple, les délinquants en bande qui font chier dans les centre vills représentent 0,1% des gens chez les français de souche, et 0,3% ou même 0,5% chez les africains immigrés, alors on estime qu'il n'y a pas de problème.

    C'est clair,il y a un rapport 3 ou 5 entre les deux taux de délinquance, mais sur des valeurs nominales extrêmement faibles. Mais bon, là je commence à parler un peu trop compliqué, non?

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  32. Rubin,

    «je ne cherche même pas à réfuter tes arguments.»

    Et moi, je ne cherche même pas à te répondre :-)

    Meuniez,

    De quel(s) pays parlez-vous ?

    Chitah,

    «Mais bon, là je commence à parler un peu trop compliqué, non?»

    Si vous cessiez de faire un complexe de supériorité, vous seriez plus agréable.

    Pour vous, l'immigration n'est pas un problème.

    Comment expliquez vous alors que, pour certains Français, ça en soit un ? Pas seulement dans les urnes et dans les sondages. Les phénomènes de fuite (de l'école ou du logement) quand la proportion d'immigrés augmente sont bien connus.

    Est-ce un effet du racisme des Français ? De la propagande du Parisien ?

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  33. De quels pays ? Des ex-pays communistes (ou, si l'on préfère, de la Nouvelle Europe ;-)))) pardi.

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  34. Franck :

    "Je suppose que lorsque vous parlez de QI, c'est de votre part un raccourci malheureux. On n'a jamais démontré un quelconque caractère héréditaire de l'intelligence."

    Je vous remercie d'être assez charitable pour tenter de préserver ce qui pourrait me rester de réputation chez les bien-pensants. Mais vous avez bien lu.

    Et, contrairement à ce que vous pensez (et à ce que je pensais il y a encore fort peu de temps, tellement la propagande politiquement correcte a réussi à faire le black-out sur le sujet), le caractère héréditaire de l'intelligence a été maintes fois démontré. Ainsi que la hiérarchie des races en matière d'intelligence.

    La preuve (en pdf):

    http://preview.tinyurl.com/Medical-Hypotheses

    Et c'est pas un torchon facho, hein. Juste une revue scientifique médicale.

    Mais nous vivons dans une époque où la science n'a droit de cité que lorsqu'elle confirme l'idéologie dominante.

    En URSS, déjà, Lyssenko jetait l'anathème sur la génétique de son époque, au motif qu'elle était réactionnaire. Les communistes européens ont massivement répandu ses idées.

    http://preview.tinyurl.com/cywfqd

    A côté de notre époque, cependant, les communistes soviétiques étaient d'aimables amateurs.

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  35. "Comment expliquez vous alors que, pour certains Français, ça en soit un ? Pas seulement dans les urnes et dans les sondages. Les phénomènes de fuite (de l'école ou du logement) quand la proportion d'immigrés augmente sont bien connus.

    Est-ce un effet du racisme des Français ? De la propagande du Parisien ?"

    Pour les français, l'ultra-libéralisme de Sarko est également un problème. Pourtant, entre 50 et 55% du PIB passe par les mains de l'Etat, record mondial quasi-absolu. Ce sentiment des français est faux. C'est l'effet de la propagande du Monde et autres journaux, et du jacobinisme français.

    De même, que les français pensent qu'il y a un problème n'en créé pas un pour autant. Les juifs, dans l'entre deux guerre, posaient problème à la France disait-on.

    Et concernant mon sentiment de supériorité, ce n'est pas qu'un sentiment : vous pensez de travers, vos sources sont inexistantes, et vous ne comprenez pas la notion de "raisonnement".
    La meilleure preuve est la discussion en cours : comment peut-on, intellectuellement, affirmer que puisque "les français" pensent que l'immigration est un problème, c'est forcément que c'est vrai.

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  36. Et comment peut-on, intellectuellement, affirmer que puisque "les français" pensent que l'immigration est un problème, c'est forcément que c'est faux ?

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  37. Ceci pour m'abonner aux commentaires.

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  38. Réponse aux commentaires sur l'anti-France dans le dernier message sur le sujet.

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  39. Suite à l'intervention de Franck Boizard sur le blog de Vincent Bénard Objectif Liberté, ce dernier y a indiqué n'avoir pris aucune mesure de bannissement à mon égard.

    Je le remercie pour sa précision... et, avant tout, pour sa tolérance, naturellement.

    Il n'en reste pas moins que depuis mes dernières interventions anti-immigrationnistes sur Objectif Liberté, qui m'ont valu une volée de bois vert de la part d'autres commentateurs, je n'ai techniquement plus la possibilité d'y commenter.

    J'ai du mal à croire à une coïncidence. Ma nouvelle hypothèse est une dénonciation malveillante d'un commentateur, qui m'aurait fait placer sur une liste de spammeurs chez Typepad ou ailleurs, en dehors de tout contrôle de Vincent Bénard.

    J'ai posé la question à ce dernier. Je vous informerai si j'ai du nouveau.

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  40. @Marchenoir : il est out à fait possible que tout le monde s'en foute de cette histoire, hein, ce n'est pas à exclure.

    D'autant que prêcher des idées anti-immigrationnistes sur un blog libéral et s'en faire vider n'est pas plus étonnant que se faire éjecter après avoir prêcher des idées favorables au stalinisme ou au maoïsme.

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  41. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  42. Au sujet du blog de Vincent Bénard : après discussion avec lui, l'explication la plus probable est qu'il était en train de faire de la mécanique créative sous le capot.

    Après qu'il a tenté d'intervertir les pédales de l'accélérateur et du frein, j'ai cru bien à tort que lui (ou un autre) m'avait niqué mon permis.

    Ayant désormais retrouvé, et l'accélérateur et le frein sur Objectif Liberté, je me couvre donc la tête de cendres, et vais aussitôt acheter, afin de faire pénitence, les oeuvres complètes de Hayek reliées en pleine peau de gauchiste.

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