Quand on est co-auteur du Chant des partisans, on peut mourir heureux.
Maurice Druon, à force de classicisme, réussit à devenir profondément original dans notre époque folle. J'aimais son coté «vieux con», en toute affection, alors que tant d'hommes s'efforcent aujourd'hui de paraître de jeunes cons et ne font ainsi que révéler ce qu'ils sont, des cons, tout court, de taille monumentale.
Maurice Druon, un seigneur des lettres s'éteint
mardi, avril 14, 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire