Grève : «les enseignants se tirent une balle dans le pied»
Au fond, ça prouve que les gens ne sont pas si bêtes : on peut leur bourrer le crâne tant qu'on veut sur les vertus de la non-sélection et de la gratuité, ils se précipitent quand même dans les filières payantes et sélectives (sauf les couillons qui n'ont pas les moyens ou ne savent pas, mais ce sont des pauvres, alors who cares ?). Ils ne sont pas dupes de ces fausses vertus qui sont de véritables vices.
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De toute façon, la France a ratifié (c'est heureux) le protocole de Bologne. Elle est donc tenue de le faire passer dans les faits au grand dam de l'intelligentsia de gauche qui sévit dans le milieu éducatif.
RépondreSupprimerQuant aux blocages de certaines universités et à leurs légitimité, il suffit, pour ceux qui douteraient encore, de regarder ce reportage chez Koztoujours (http://www.koztoujours.fr/?p=4230): "de la démocratie ordinaire dans les universités françaises".