vendredi, octobre 30, 2009

L'occupation du 18ème

On n'est plus en France mais ce traitre d'Hervé Le Bras reste négationniste (1) : il nie que l'immigration soit un problème.



Il se trouve que je connais la rue Myrha : j'ai un ami breton, peut-être le seul blanc de la rue, qui y habite.

La rue Myrha, c'est un rêve de multiculturaliste : il n'y a qu'un blanc au milieu de noirs !

C'est pittoresque (sauf pour les femmes non voilées) quand tout va bien, mais ce n'est pas la France. Et, souvent, ça va mal : batailles de gangs, agressions par des junkies, vols. Sans compter les petits désagréments du quotidien, le bruit et l'odeur pour reprendre le mot d'un ancien président de la république.

Et si il se trouve des belles âmes qui s'offusquent, qu'elles aillent d'abord passer quelques jours, pas quelques heures, rue Myrha.

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(1) : cette allégation de négationnisme est une plaisanterie : un clin d'oeil aux méthodes de débat des réchauffistes.

7 commentaires:

  1. Lorsque je suis « monté » à Paris en 2008 (le 14 juillet !), j'ai squatté deux semaines rue Myrha, chez le fils de ma belle-mère et sa compagne. Eux, de gauche bien sûr, pensaient avoir enfin trouvé leur Eden multiculturel. Quinze jours m'ont suffi pour voir l'envers du décor (enfin, l'endroit n'était guère mieux) : islamisation, violence, drogue, racisme anti-blanc.

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  2. Et ils y sont toujours ?

    De toute façon, tous les envahisseurs de tous les temps ont toujours trouvé un certain type d'envahis non seulement prêts à collaborer mais à justifier cette invasion, à trouver qu'elle est un formidable progrès.

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  3. Oui, ils y sont toujours. Le seul avantage objectif de leur situation est que, pour un F3, ils paient le même prix qu'un F2. C'est leur moyen d'occulter le « malaise » qu'ils ressentent confusément, mais n'osent pas s'avouer : par exemple, le fait qu'ils n'osent plus sortir le soir.

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  4. Conclusion : quand on veut vivre en F3, mieux vaut avoir les moyens de se payer un F3.

    On en revient toujours à cette vérité : les dégâts de l'immigrationnisme touchent les populations les plus vulnérables.

    Seulement, à mesure que l'immigrationnisme et le multiculturalisme s'étendent, les populations vulnérables constituent une part de plus en plus importante et montent en niveau social.

    Il y a quelques années, il fallait être smicard pour être confronté aux difficultés de l'invasion migratoire. Aujourd'hui, même dans les quartiers «bien», on en vient à avoir des problèmes.

    Le Bras est vraiment un sale connard.

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  5. C'est tout simplement édifiant... J'ai souvent l'occasion d'aller dans le 18ième, pas loin de Clignancourt, j'avais donc déjà pu constater par moi même quel "formidable îlot de diversité" y était niché, mais là.... Je ne sais pas quoi dire !

    Il y avait déjà eu une sorte de débat-polémique sur l'identité nationale en 2007, peu après les élections. J'avais bcp apprécié l'intervention de Finky :

    http://www.youtube.com/watch?v=_Z6LNjyVwH0&feature=related

    Un constat clair, ferme, complet et intouchable par les habituelles accusations de "bien-pensance" qui sont fréquentes sur ce sujet.

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  6. Les propos de Le Bras ne m'étonnent pas. Il a quand même une énorme tête d'abruti.

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  7. Les abrutis du style Le Bras sont d'autant plus nuisibles que je suis persuadé que si l'on regardait les choses en face, nous pourrions encore régler nos problèmes.

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