C'est du Jane Campion. Ce n'est pas follement gai. Mais d'une grande beauté.
Je suis un peu surpris de lire dans les journaux que ce film a été accueilli en demi-teinte à Cannes, pour cause de mélodrame.
Ce manque de jugement est peut-être du au cynisme qui sied aux réunions entre professionnels.
D'ailleurs, le public ne s'y trompe pas. J'ai trouvé une salle pleine.
mardi, janvier 12, 2010
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