samedi, mars 24, 2012

Les premiers enseignements de l'affaire Merah

1) La biographie de Mohammed Merah est terriblement banale, comme celle d'Eichmann (1). Il y a des milliers de types en France qui ont ce profil. Bien évidemment, tous ne passeront pas à l'action mais le danger est présent. Un point rassurant toutefois : il n'y a pas de raison que les jeunes musulmans ne soient pas rendus aussi veules et amorphes que les jeunes a
occidentaux par notre société décadente.

2) Les gauchistes sont cons et dangereux. En détournant l'attention sur un danger totalement imaginaire, le fascisme, et en niant le danger réel, l'islamisme, il brouille le débat politique. C'est une irresponsabilité gravissime. Peut-être certains agissent-ils par connerie, mais d'autres sont des enfoirés tout à fait conscients.

3) La police ne s'en est pas mal sortie, mais peut mieux faire.

4) Le problème est avant tout politique : fin de l'immigration, fin de l'anomie, retour de l'ordre et des frontières (juridiques et mentales), droit du sang. En France, on ne fait pas n'importe quoi, on se comporte comme un Français, pour le meilleur et pour le pire, sinon on vire. Les papiers administratifs ne suffisent pas à faire un Français.

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(1) : je rappelle que tuer des enfants juifs parce qu'ils sont juifs s'apparente à un crime contre l'humanité. Je n'insiste pas puisque que je trouve malvenue la notion même de crime contre l'humanité. Mais les antifascistes-avec-70-ans-de-retard, qui ont perpétuellement cette notion à la bouche, auraient pu être cohérents et montrer pour une fois ce que valait réellement leur antifascisme proclamé. Vu leur absence de réaction, maintenant on le sait : leur antifascisme ne vaut rien (on s'en doutait). Ce n'est qu'un procédé rhétorique dégueulasse pour disqualifier des adversaires qui n'ont rien de fasciste.

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