dimanche, mars 25, 2012

L'islam, je m'en fous

Ll'islam n'est pas pas ma religion, n'est pas la religion de mon pays, ni ma culture, ni celle de mon pays. Je m'en fous donc de savoir si l'islam est plus ceci ou moins cela. L'islam m'est étranger et ne me concerne pas. Donc les pinaillages sur l'interprétation de l'islam me paraissent inutiles. Et dangereux, car ils légitiment une discussion dont il faut refuser le principe même.

On me serine que l'islam est une religion d'amour et de paix, j'ai franchement du mal à y croire, mais, de toute façon, je m'en fous.

L'islam n'a pas sa place en France (les bouddhistes et les taoïstes ne me dérangent pas : ils sont peu nombreux. Il y a une autre différence : l'islam s'est constitué en opposition au christianisme). Quelques citoyens musulmans ont leur place, j'en connais qui ont d'éminentes qualités, mais dès qu'ils sont assez nombreux pour se poser en communauté concurrente de la France «de culture grecque et latine et de religion chrétienne», il faut arrêter les conneries. C'est pourquoi je suis partisan de zéro immigration extra-européenne. Et qu'on ne me dise pas que la France a besoin d'immigrés : elle a très bien vécu plus de mille ans sans.

Je n'ai rien contre l'islam, je m'en fous. Que les musulmans vivent leur vie, ce n'est pas moi qui irai leur expliquer comment ils doivent vivre. Mais chez eux, dans des pays musulmans.

Pour les mêmes raisons, je suis choqué par la dérive communautariste de certains juifs, mais ils ne représentent pas, eux, une menace démographique.

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