En votant Hollande, les Français (au moins 51,6 %) ont choisi celui qui leur chantait la meilleure berceuse.
Et, pourtant, deux tiers disent dans les sondages qu'ils redoutent un destin à la grecque.
Comment réconcilier cette apparente contradiction ?
Très simple : les Français sont inquiets pour leur pays, mais, quand il s'agit de voter, ils choisissent celui dont il pense qu'il leur demandera, à eux personnellement, le moins d'efforts (et, évidemment, beaucoup à leur voisin).
Bref, les Français ont bien mérité ce qui va leur arriver. Comme disait un célèbre humoriste politique de la deuxième moitié du XXème siècle, les Français sont des veaux.
L'idéal serait de changer de peuple (on me dit dans l'oreillette que c'est en cours mais que le peuple de remplacement risque de ne pas me plaire beaucoup).
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