En Syrie, l'intérêt de la France n'est certainement pas de favoriser la rébellion islamiste.
Donc, au lieu de discours droits-de-lhommistes, moralisateurs et manichéens, à peine dignes d'adolescents attardés, qui radicalisent la situation et avantagent les prétendus gentils (qui sont peut-être les vrais méchants), le gouvernement devrait jouer le pragmatisme et, même, l'indifférence (quel besoin la France à-t-elle de prendre parti dans les affaires intérieures syriennes ?).
Au contraire, nous avons l'escalade verbale qui prépare l'escalade militaire et la victoire des islamistes. Il est vrai qu'il faut prendre en compte l'antisémitisme et le pro-islamisme du Quai d'Orsay.
Nous sommes vraiment dirigés par des cons, voire des fous.
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