Je pense à la vieille blague de chirurgien : «opération réussie, malade décédé».
On s'interroge doctement sur la réforme de la classe jacassante. Mais il ne faut pas la réformer, il faut la faire disparaître.
Pour sa composante journalistique, c'est pratiquement fait : seules les subventions maintiennent les zombies en activité et une subvention, avec un bon gouvernement, ça se débranche.
Pour sa composante politique : référendum d'initiative populaire sans contrôle de constitutionnalité (1), non-renouvellement des mandats, démission des fonctionnaires se présentant aux élections.
Comment mettre tout cela en place (car la classe jacassante tient le manche et n'a pas l'intention de se laisser chasser sans réagir) ?
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(1) : ce point a fait l'objet d'un débat sous un autre billet.
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