Les deux titres des Echos :
> électronique :«Hollande sous le signe de "l'offensive"»
> papier : «L'an II sans réformes nouvelles»
C'est quand la chose vous manque qu'on répète sans cesse le mot. François Hollande ne peut pas être économiquement «offensif», car ce serait s'attaquer à son électorat, qui est la masse bloquante de la France.
Or, François Hollande est absolument inapte à s'élever au-dessus de la tambouille électorale.
Il ne sait être «offensif» que contre ceux qui ne votent pas pour lui, déjà accablés d'impôts. Or, ce sont ceux-là qui font marcher l'économie.
Puisqu'il exclut le bon (s'attaquer à son électorat), il n'a donc le choix qu'entre le mauvais (l'immobilisme) et le pire (finir de décourager les actifs). Il écarte le pire, il ne lui reste que le mauvais.
En résumé, l'«offensive» hollandiste, c'est être immobile à fond et sans concession.
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