mercredi, mai 01, 2013

La décadence sur BFM

Les Experts 29 avril 2013

Les Experts 30 avril 2013

C'est Jean-Pierre Petit qui définit le problème : inverser les anticpations. En français courant : redonner l'espoir (et non le rêve, comme le prétendait un minable élu il y a un an à je ne sais plus quel poste).

Qu'on soit pour la thèse du déclin (faiblesse passagère) ou pour celle de la décadence (spirale auto-entretenue), tous ceux qui s'intéressent encore à la France, Français comme étrangers, s'attendent à ce que notre pays soit demain plus bas qu'aujourd'hui, et ce, dans tous les domaines.

Ces anticipations négatives donnent lieu à des décisions multiformes : par exemple, ces parents d'un enfant au collège qui se demandent déjà comment ils vont organiser ses études supérieures à l'étranger et qui épargnent en conséquence.

Pour que la France retrouve une partie de sa grandeur, il faudrait effectivement inverser les anticipations.

Un des problèmes de nos politiciens, qui sont des bavasseurs invétérés qui se payent de mots à longueur de journées, est de croire qu'il s'agit d'un problème de communication. Mais non. C'est un problème d'action.

Le capitaine du Titanic n'a pas fait naufrage parce qu'il n'a pas assez communiqué, il a fait naufrage parce qu'il n'a pas eu la bonne action au bon moment.

Ce problème étant posé, reste à le résoudre.

Je sais déjà ce que sont les fausses solutions : l'union nationale et le consensus.

Charles De Gaulle ou Magaret Thatcher n'ont pas réformé en cherchant un introuvable consensus.

Mais pour le reste ...


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