Il y a peu, Stéphane Montabert évoquait le «tapis» des réchauffistes.
Le «tapis» est cette manoeuvre du joueur de poker qui, sentant la situation lui échapper, mise tout sur un coup, espérant impressionner ses opposants et reprendre la main.
La même idée vient à l'esprit à propos de l'affaire Léonarda : les sansfrontiéristes et les sanspapiéristes sentent bien qu'ils n'ont pas le vent en poupe. Ils bénéficient encore de la complaisance des appareils politiques, de la bureaucratie bruxelloise et des journaleux, mais le peuple français fait connaitre son opposition de manière en plus en plus sonore, le temps joue contre eux.
C'est pourquoi ils tentent un «tapis».
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