Les primaires introduisent une innovation qui mériterait un prix Nobel de la politique si ça existait : désormais, comme l'illustre abondamment François Fillon, on trahit ses électeurs avant les élections.
Le progrès fait rage.
"Il faut limer et frotter sa cervelle à celle d'autrui" (Montaigne)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire