Décevant.
Long entretien de Ross Brawn, l’ingénieur le plus titré de la F1.
C’est un enchaînement de banalités du genre « Promouvoir la créativité » et « Rester rigoureux ». D’accord, mais pourquoi y es-tu mieux parvenu que les autres ? Mystère total.
Le seul point clair, c’est qu’il a fait cesser le management par la terreur qui régnait chez Ferrari (c’est très italien : sous le coté folklorique, chaleureux méridional, il y a un sens de la hiérarchie très aigu, à la limite de l’oppression, quelquefois au-delà) et qu’il a instauré un esprit d’équipe en donnant l’exemple de la responsabilité du chef, au lieu d’essayer comme avant de rejeter la faute sur ses subordonnés. C’est bien, mais c’est un peu court comme explication de ses succès.
Les sujets sont seulement effleurés. Dommage.
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