@ Giuseppe | 07 avril 2018 à 14:32
Un Vert ça va, mais trois verres (ou plus) bonjour les dégâts !
Pauvre J-V Placé, après ses propos de pilier de bar, je doute qu’on le revoie un jour dans le marigot politique.
Dire à un vigile "on n'est pas au Maghreb ici, je vais t'envoyer à Ouagadougou dès le premier vol", lui qui est né à Séoul et qui n’a pas vraiment le morphotype du Français « de souche », ça ne manque pas de saveur.
Mais il est vrai qu’avec 1,16 g d’alcool dans le sang on a tendance à oublier les règles qu’on demande aux autres de respecter…
Il fut un temps, en France, où on traitait les poivrots avec un certain amusement, sans en faire un drame : une nuit en cellule de dégrisement et, hop, dehors avec un coup de pied au cul.
Maintenant que les "pétasses bitophobes californiennes" (copyright Desproges) ont pris le pouvoir et donnent le ton de la bonne société, et aussi, hélas, de la loi, zéro humour, zéro distance, on prend tout au sérieux et au tragique et voilà le retour des précieuses ridicules qui font la police du langage et prohibent l'alcool.
Elles (ce "elles" englobe, une fois n'est pas coutume, des hommes) me rendent JV Placé sympathique. C'est un exploit !
Le monde dans lequel nous vivons est vraiment un monde de merde. On doit être bien au fin fond de l'Australie, avec les kangourous.
La vie est injuste, certes J-V Placé n'est pas très reluisant mais en faire tout un pataquès pour une soirée bien arrosée, où va-t-on ?
Procès et tout le toutim en grande pompe... On ne peut plus bouger le petit doigt, que celui qui n'a pas fêté un peu lourdement un événement me jette la première pierre.
Etudiant à l'époque, la maréchaussée savait faire la part des choses, on ne peut plus rien faire, sous couvert de féminisme sans doute légitime tout a dérapé, tout est hypertrophié, démesuré, on confond tout, la liberté en moins à chaque fois, bientôt on ne sortira plus de chez soi.
La société est devenue folle.
https://www.ladepeche.fr/article/2018/04/03/2772454-une-cour-speciale-pour-les-deux-toulousains-jihadistes.html,, leurs actes abominables passent inaperçus ou presque, ils n'auraient même pas mérité le prix de la corde et pourtant eux ils n'avaient rien bu.