dimanche, mars 31, 2019

Le dilemme du Brexit s'éclaircit, comme dans toute bonne tragédie shakespearienne.

Les commentateurs partent dans tous les sens sauf sur un point : ils convergent sur le fait que les Britanniques pourraient se trouver placés devant l'alternative « No deal ou No Brexit ».

Beaucoup d'imbéciles pensent que les Rosbeefs choisiront alors le No Brexit. C'est bien mal connaitre nos amis anglais : comme ils le disent eux-mêmes, il est douteux que des gens qui ont résisté à Bonaparte et à Hitler se laissent impressionner par Barnier et Juncker.

D'autres, plus cyniques, pensent que les parlementaires britanniques, fidèles aux habitudes désormais classiques de la classe dirigeante mondialisée, choisiront le No Brexit à l'encontre des voeux du peuple.

C'est possible, mais je reste un indécrottable optimiste de la démocratie britannique (certains pensent que je suis victime de la propagande perfide d'Albion) et crois que tout cela finira par un No deal, dont on découvrira qu'il ne posait guère de problèmes et qu'il libère la Grande-Bretagne.










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