Il me semble que c'est Bertrand Vergely dans Atlantico qui faisait cette remarque très juste : les déchristianisés qui font la police de la pensée n'ont plus de vie intérieure, plus de recul, donc tout ce qui est extérieur, ce qui se passe à la surface d'eux-mêmes, les atteint dans toute leur profondeur puisqu'ils n'ont plus qu'une vie d'apparence, qu'ils n'ont plus aucune profondeur.
D'où leurs crises d'hystérie pour des choses qui apparaissent aux sages comme futiles.
Notons que l'islam, tout en extériorité (à part quelques tendances groupusculaires comme le soufisme), est une religion très adaptée à ces abrutis, ce qui, vu leur nombre, ne laisse pas de m'inquiéter.
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