lundi, juillet 15, 2019

Ce n'est que le début, la transgression balaie tout l'humain sur son passage.

Pris chez Bruno Bertez :



Cela vient à point nommé après l'assassinat de Vincent Lambert (analyse intéressante d'Ingrid Riocreux sur la complicité des journalistes et la préparation de la prochaine étape).

Vous connaissez mon opinion : nous vivons dans une société satanique, au vrai sens du terme.

C'est ce que ça veut dire, le vocabulaire ampoulé des connards, les cuistres subventionnés, « briser les codes, faire bouger les lignes », ça signifie « Je veux rendre hommage à l'assassin plutôt qu'à ses victimes, je veux appeler bien ce qui est mal, je veux rendre un culte au Mal, je veux vénérer Satan ».

Il n'y a pas à tourner autour du pot : cet état de fait (et Etat de fait, puisque l'Etat est l'instrument principal de ce culte satanique) est désespérant. Mais, quand on nomme les choses correctement, il est plus facile de trouver la solution.

En l'occurrence, la solution, c'est le Christ. Dans les textes sacrés et dans la tradition de l'Eglise, il y a toutes les réponses spirituelles, morales et philosophiques pour s'opposer à Satan.

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