A part les plus de 70 ans qui ont des raisons réelles et sérieuses de s'inquiéter du coronavirus, les autres doivent surtout s'inquiéter d'un blocage de l'économie, dont une possible pénurie de médicaments (qui toucherait aussi les plus de 70 ans, double raison de s'inquiéter. Il y en a un qui n'est pas inquiet, c'est le déficit de la Sécu et des caisses de retraites).
Mon commentaire sur le blog de Stéphane Montabert (Coronavirus: nouvelles du front) :
L'analyse du pharmacologue Bernard Dugué est intéressante parce qu'il est un l'un des rares à avoir prédit que la panique autour du H1N1 était injustifiée (je pense que la panique est bonne conseillère en première instance. Pas ensuite) :
Il y a bien une pandémie de COVID-19 mais c'est la pandémie de la peur.
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Pour finir, une bonne nouvelle. Une partie du corps médical a compris la situation et s’emploie à diffuser des messages incitant à rester calme et à ne pas paniquer. Il serait bon que les médias fassent de même plutôt que livrer aux esprits animaux des informations brutes, comme ce nouveau décès consécutif à une embolie pulmonaire développée par un homme de 60 ans testé positif.
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Une analyse sociologico-politique anglaise :
Coronavirus and the madness of elites. Their panicked response stems from their fear of the masses.
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The contrast between the responses to coronavirus from the elites and ordinary people has been stark. Even as the level of panic in the mainstream reporting around coronavirus has risen, ordinary people have just gotten on with their lives. The supposedly well-informed elites, who often accuse the ‘dumb’ masses of being vulnerable to hysteria and ‘fake news’, have themselves been prodded into panic. Meanwhile, where they are not in lockdowns, ordinary people are still going to work, commuting, going to bars… They’re simply getting on with their lives, while taking note of the potential risks.
The elites are in free-falling panic ; like a herd of wildebeest, panicked by the sight of a predator and rushing blindly across crocodile-infested waters, they have sparked a potential global economic meltdown. Meanwhile, we see stoic common sense, simple but profound wisdom, on the part of the ‘great unwashed’.
[…]
Human creativity and our capacity to solve problems can and will contain coronavirus. People are not the problem. But the global elites certainly are. Their behaviour is fuelling more panic, and now threatens billions with economic recession. We need to embrace the calm and wisdom of the masses, not the madness of elites.
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Mais bon, la meilleure analyse, c'est celle de Bigard :
Le plus gros risque, c'est quand même le coranovirus :
lundi, mars 02, 2020
Le plus gros risque du coronavirus : la panique gouvernementale.
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