Les obligations généralisées, comme le masque, sont totalement idiotes : l'épidémie est finie dans l'hémisphère nord.
Le COVID est l'occasion de la manifestation d'une irrationalité folle de la part de l'occident. Voici les faits :
1) la mortalité du COVID se situe entre 50 % et 100 % de la grippe de Hong-Kong en 1969. C'est grave, mais sans plus. En 1969, on n'a pas paralysé la vie de pays entiers pour ça (et, à mon jugement, on a très bien fait).
2) les populations vulnérables sont identifiées et on peut se concentrer sur celles-ci sans emmerder toute la population.
3) des remèdes efficaces sont connus (protocoles IHU ou Zelenko) en phase précoce. C'est un peu plus difficile, évidemment, en phase avancée, mais on améliore tout de même la survie. Il n'y a pas besoin d'un incertain vaccin.
4) Les médecins ont quasiment l'exclusivité de la parole publique sur ce sujet et manifestent, comme il est humain, une vision très étroite des choses, à la limite de la stupidité dans certains cas. Ceci témoigne non d'une démarche scientifique, mais au contraire d'une grande méconnaissance de la science et d'un état d'esprit fétichiste.
Au bilan, cette épidémie de COVID a révélé chez les occidentaux une véritable maladie mentale, une régression pré-moderne.
S'il y a quelque rationalité dans cette irrationalité, c'est qu'on ne continuerait pas à faire une tel battage à propos de l'épidémie s'il n'y avait pas les élections américaines dans trois mois.
Dans la même ligne de pensée, il y a quelque rationalité à envisager l'épidémie de COVID (ou, plutôt, les réactions à l'épidémie de COVID) comme une manoeuvre de contrôle social, comme une manière pour nos gouvernants d'accentuer notre état de moutons soumis. Mais il y a irrationalité de notre part à nous y soumettre avec zèle.
Quelques questions d'un électeur (belge) à propos de la crise
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