Saul Alinsky, mort en 1972, est un universitaire gauchiste américain dont l'objectif était de détruire la société américaine (dans un livre dédié à Lucifer ! Au moins, les choses sont claires).
Il a eu comme élève Hillary Clinton. Barack Obama a plusieurs fois déclaré s'en inspirer. On notera qu'il a eu une influence sur les milieux catholiques français. France Insoumise l'a mis à l'honneur à son université d'été de 2017.
C'est lui qui a inventé le concept de « démocratie participative » : vous voyez, ce n'est pas le truc gentillet qui va de soi que nous présentent les journalistes pourris. C'est une arme de guerre contre la démocratie, comme l'a montré récemment en France la « conférence sur le climat ». C'est facile de comprendre pourquoi : des assemblées restreintes sont beaucoup plus facilement manipulables par des agitateurs fanatiques à la Cohn-Bendit qu'un corps électoral qui vote à bulletins secrets.
N'importe quel crasseux de l'UNEF sait manipuler une AG de boutonneux.
Sa stratégie est qu'il ne faut pas attaquer la démocratie frontalement mais l'attaquer par plusieurs biais, le supplice des mille coupures. D'où le slogan « The issue is never the issue. The issue is always the revolution », autrement dit « Le sujet n'est jamais le sujet. Le sujet est toujours la révolution ». Les féministes, anti-racistes, écologistes n'en ont rien à foutre des femmes, des noirs et de la nature (ça se voit dans la prise de décisions concrètes), ce qu'ils veulent, c'est détruire la société.
Le moyen, c'est de diviser la société en communautés, chacune focalisée sur un problème (d'où la « démocratie participative »). Ainsi, on obtient la guerre de tous contre tous et la société est détruite. C'est trop dans l'actualité pour que j'y insiste.
L'exemple de Black Lives Matter :
Saul Alinsky and the BLM Movement
Nos ennemis sont des enculés, pas des idiots.
Le remède est simple (dans le principe) : la transcendance. Montrer qu'un homme n'est pleinement humain que s'il se dévoue à construire et à transmettre quelque chose de plus grand que lui (et ne pas hésiter à montrer des conséquences positives concrètes). Encore faut-il avoir cet idéal unificateur. Pour la France et l'Europe, je ne vois pas d'autre candidat que le Christ, mais peut-être manqué-je d'imagination.
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